Abidjan, 20 oct (AIP) – Le ministre ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bakayoko-Ly Ramata, et le nouvel ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Gilles Huberson, ont ouvert, vendredi à Abidjan, la 2ème édition du Salon de l’Enseignement supérieur français (SESF) dont ils ont salué la contribution au renforcement de la coopération en matière d’éducation entre les deux pays.
« Ce salon symbolise une nouvelle étape de rapprochement entre nos deux pays et est une opportunité pour garantir la pérennité de la mixité de la recherche entre les chercheurs, pour penser à des solutions innovantes de financement face à la problématique de l’accroissement du nombre d’étudiants », a relevé Gilles Huberson, à l'ouverture de l'exposition, au Forum de l'université Houphouët-Boigny d'Abidjan-Cocody.
Le diplomate français s’est félicité de consacrer au SESF 2017 sa première activité depuis la présentation de ses lettres de créance au président de la République après le départ de son prédécesseur, Georges Serre. Son pays, première destination à l’étranger d’étudiants ivoiriens, est fier d’accueillir près de 5000 étudiants ivoiriens, dont 1700 nouveaux l’année dernière, un chiffre qui a doublé entre 2011 et 2016. Les services de son ambassade tablent sur une prévision de 2000 nouveaux étudiants cette année.
Pour la ministre Bakayoko-Ly Ramata, chaque acteur de la communauté universitaire doit prendre la pleine mesure des enjeux et tirer le meilleur parti de ce salon, les établissements pour nouer des partenariats et les étudiants pour « sélectionner les meilleurs filières susceptibles de les accueillir en fonction de leurs projets et de leurs profils ».
«Ce salon s’inscrit dans la vision du président de la République qui veut faire de l’université la clé de voûte du développement, le centre de l’activité intellectuelle, formant des ressources humaines de qualité pour l’émergence de la Côte d’Ivoire», a-t-elle conclu.
Diplômé d'universités françaises, le président de l'université FHB de Cocody, Pr Karamoko Abou, s'est félicité du choix de son institution pour abriter cette activité marquant la qualité de la collaboration entre les institutions d'éducation françaises et ivoiriennes.
Une vingtaine d’universités françaises participent à ce salon au cours duquel elles présenteront leurs offres de formation, les conditions d’accès et facilités de financement aux étudiants ivoiriens désireux de poursuivre leurs études supérieures en France, dans un contexte d’harmonisation des curricula pour faciliter la mobilité des étudiants et leur insertion professionnelle. La première édition avait enregistré 6000 visiteurs.
(AIP)
aaa/kam
« Ce salon symbolise une nouvelle étape de rapprochement entre nos deux pays et est une opportunité pour garantir la pérennité de la mixité de la recherche entre les chercheurs, pour penser à des solutions innovantes de financement face à la problématique de l’accroissement du nombre d’étudiants », a relevé Gilles Huberson, à l'ouverture de l'exposition, au Forum de l'université Houphouët-Boigny d'Abidjan-Cocody.
Le diplomate français s’est félicité de consacrer au SESF 2017 sa première activité depuis la présentation de ses lettres de créance au président de la République après le départ de son prédécesseur, Georges Serre. Son pays, première destination à l’étranger d’étudiants ivoiriens, est fier d’accueillir près de 5000 étudiants ivoiriens, dont 1700 nouveaux l’année dernière, un chiffre qui a doublé entre 2011 et 2016. Les services de son ambassade tablent sur une prévision de 2000 nouveaux étudiants cette année.
Pour la ministre Bakayoko-Ly Ramata, chaque acteur de la communauté universitaire doit prendre la pleine mesure des enjeux et tirer le meilleur parti de ce salon, les établissements pour nouer des partenariats et les étudiants pour « sélectionner les meilleurs filières susceptibles de les accueillir en fonction de leurs projets et de leurs profils ».
«Ce salon s’inscrit dans la vision du président de la République qui veut faire de l’université la clé de voûte du développement, le centre de l’activité intellectuelle, formant des ressources humaines de qualité pour l’émergence de la Côte d’Ivoire», a-t-elle conclu.
Diplômé d'universités françaises, le président de l'université FHB de Cocody, Pr Karamoko Abou, s'est félicité du choix de son institution pour abriter cette activité marquant la qualité de la collaboration entre les institutions d'éducation françaises et ivoiriennes.
Une vingtaine d’universités françaises participent à ce salon au cours duquel elles présenteront leurs offres de formation, les conditions d’accès et facilités de financement aux étudiants ivoiriens désireux de poursuivre leurs études supérieures en France, dans un contexte d’harmonisation des curricula pour faciliter la mobilité des étudiants et leur insertion professionnelle. La première édition avait enregistré 6000 visiteurs.
(AIP)
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