Les écoliers Ekrabé Jérôme Ayémou et Ecressien Angel, tous deux âgés de neuf (9) ans et de la classe de CE2 à l’école primaire publique de Yaou (Bonoua) ne reverront plus leurs camarades de classe. Ils ont été mortellement heurtés, le jeudi 19 octobre dernier, aux environs de 17 heures, par un automobiliste roulant à vive allure en direction d’Abidjan. Le premier a été tué sur le champ et le second a rendu l’âme pendant son évacuation vers un centre de santé. Le décès accidentel des deux enfants a mis le village de Yaou en émoi et semé la désolation à l’école. Selon le commissaire de police de Bonoua, Bienvenue Ambéké, il a été joint par téléphone vers 17 h par un habitant. Son interlocuteur lui signale qu’un homme à bord d’une voiture BMW X5 de type 4X4 vient de percuter mortellement deux élèves sans s’arrêter.
L’autorité policière joint immédiatement son collègue de Grand-Bassam et l’adjoint au chef de district de Port-Bouët, avant de se rendre sur les lieux. Un dispositif est aussitôt mis en place pour arrêter le chauffard. C’est au rond-point d’Anani, qu’il sera intercepté et conduit au 24ème arrondissement de police. L’homme de nationalité libanaise, répondant au nom d’Abdallah Nasser, nie d’abord les faits avant d’être confondu par les traces de choc sur son véhicule. Il a été mis à la disposition de la préfecture de police d’Abidjan. Notons qu’un calme plat a régné sur le village de Yaou, toute la journée de vendredi, après ce double décès tragique. C’est le lieu d’interpeller les automobilistes qui traversent régulièrement ce gros bourg à vive allure, souvent en partance pour ou en provenance d’Assinie ou d’Assouindé.
Sam K.D
L’autorité policière joint immédiatement son collègue de Grand-Bassam et l’adjoint au chef de district de Port-Bouët, avant de se rendre sur les lieux. Un dispositif est aussitôt mis en place pour arrêter le chauffard. C’est au rond-point d’Anani, qu’il sera intercepté et conduit au 24ème arrondissement de police. L’homme de nationalité libanaise, répondant au nom d’Abdallah Nasser, nie d’abord les faits avant d’être confondu par les traces de choc sur son véhicule. Il a été mis à la disposition de la préfecture de police d’Abidjan. Notons qu’un calme plat a régné sur le village de Yaou, toute la journée de vendredi, après ce double décès tragique. C’est le lieu d’interpeller les automobilistes qui traversent régulièrement ce gros bourg à vive allure, souvent en partance pour ou en provenance d’Assinie ou d’Assouindé.
Sam K.D
