À Agboville, un car de la Société Bongougou Transport de l’Agnéby (SBTA) qui détient presque le monopole de l’activité sur la ligne Agboville-Abidjan, a échappé aux premières heures de la journée du mardi 24 octobre 2017, à des coupeurs de route.
Le chauffeur du car répondant au nom de Diaby témoigne : « Le premier départ du car de la société est à 4h30 min du matin. Mais aujourd’hui, il n’y pas eu assez de passagers donc le premier départ s’est fait à 5h30 min; entre le village Erymakouguié 1 et Grand-Yapo, il y a eu de gros troncs d’arbres qui ont barré la route. M’étant rendu compte que ce sont des coupeurs de route, aussitôt j’ai fait demi-tour, et les passagers ont eu peur ».
Une fois à la gare, des passagers ont alerté la police et la gendarmerie, qui se sont rendus sur le lieu indiqué.. Un officier de la police explique : « Oui ça peut être un braquage, l’insécurité demeure à Agboville, nous faisons des pieds et mains pour mettre le grappin sur les bandits ».
Dans la nuit du lundi 23 au mardi 24 octobre 2017 il n’y a pas eu de pluie ni de vent violent, dans la ville pour expliquer la présence sur la route d’un arbre tombé.
Consty à Agboville
Le chauffeur du car répondant au nom de Diaby témoigne : « Le premier départ du car de la société est à 4h30 min du matin. Mais aujourd’hui, il n’y pas eu assez de passagers donc le premier départ s’est fait à 5h30 min; entre le village Erymakouguié 1 et Grand-Yapo, il y a eu de gros troncs d’arbres qui ont barré la route. M’étant rendu compte que ce sont des coupeurs de route, aussitôt j’ai fait demi-tour, et les passagers ont eu peur ».
Une fois à la gare, des passagers ont alerté la police et la gendarmerie, qui se sont rendus sur le lieu indiqué.. Un officier de la police explique : « Oui ça peut être un braquage, l’insécurité demeure à Agboville, nous faisons des pieds et mains pour mettre le grappin sur les bandits ».
Dans la nuit du lundi 23 au mardi 24 octobre 2017 il n’y a pas eu de pluie ni de vent violent, dans la ville pour expliquer la présence sur la route d’un arbre tombé.
Consty à Agboville