M. Jean-Claude brou, ministre de l’Industrie et des Mines a appelé jeudi 19 octobre, les acteurs de l’industrie pharmaceutique et l’ensemble de la communauté des pharmaciens à aller encore beaucoup plus loin dans leurs recherches afin que le pays soit totalement autosuffisant dans la production des médicaments.
"Nous encourageons la communauté des pharmaciens à aller encore beaucoup plus loin pour atteindre nos objectifs. À savoir être totalement autosuffisants dans la production de nos médicaments sur place » a-t-il fait savoir lors d’une visite qu’il effectuait à l’usine de l’entreprise Côte d’Ivoire Pharmacie (CIPHARM).
Cette usine de fabrication de médicaments, créée par des Ivoiriens et basée à Cocody,
en août 2017, avait décroché le prix d’excellence de l’industrie décerné par le Président de la république, Alassane
ouattara.
«Nous sommes à l’écoute des pharmaciens. Qu’ils nous disent quelles sont leurs préoccupations pour que nous pussions les accompagner», a rassuré Jean-Claude brou.
L’appel des autorités visant à mobiliser les pharmaciens ivoiriens arrive à un moment où la Côte d’Ivoire ne produit que 10% de médicaments pour couvrir ses besoins. Alors que des pays comme le Ghana, le nigeria et l’Afrique du sud se situent respectivement à plus de 30, 45 et 60%.
« Il est important qu’après avoir maîtrisé
la chaîne de la commercialisation, de la logistique, les acteurs ivoiriens, en particulier
les pharmaciens, puissent faire une intégration en amont au niveau de la production. C’est le
message fondamental », rappelle sans cesse le ministre qui, au cours de cette visite,
était accompagné par le président du conseil d’administration de Cipharm, l’Ivoirien Diawara Ibrahima.
Le ministre l’a félicité, lui et son équipe pour le travail qu’ils abattent au quotidien pour le développement de l’industrie pharmaceutique dans le pays. Sur neuf unités de production répertoriées dans le pays, cinq sont actives.
À savoir, Olea, Cipharm, Lic pharma, Pharmivoire Nouvelle, Lpci. En renforçant le marché de la production, le gouvernement rassure qu’en plus d’augmenter la disponibilité des médicaments, le pays va dépendre moins de l’extérieur.
Par ailleurs, cela va faciliter l’accès des populations aux médicaments à des coûts réduits, renforcer la recherche, développer la pharmacopée et surtout lutter efficacement contre les médicaments de la rue qui est « un fléau », selon le ministre de l’Industrie.
Atapointe
"Nous encourageons la communauté des pharmaciens à aller encore beaucoup plus loin pour atteindre nos objectifs. À savoir être totalement autosuffisants dans la production de nos médicaments sur place » a-t-il fait savoir lors d’une visite qu’il effectuait à l’usine de l’entreprise Côte d’Ivoire Pharmacie (CIPHARM).
Cette usine de fabrication de médicaments, créée par des Ivoiriens et basée à Cocody,
en août 2017, avait décroché le prix d’excellence de l’industrie décerné par le Président de la république, Alassane
ouattara.
«Nous sommes à l’écoute des pharmaciens. Qu’ils nous disent quelles sont leurs préoccupations pour que nous pussions les accompagner», a rassuré Jean-Claude brou.
L’appel des autorités visant à mobiliser les pharmaciens ivoiriens arrive à un moment où la Côte d’Ivoire ne produit que 10% de médicaments pour couvrir ses besoins. Alors que des pays comme le Ghana, le nigeria et l’Afrique du sud se situent respectivement à plus de 30, 45 et 60%.
« Il est important qu’après avoir maîtrisé
la chaîne de la commercialisation, de la logistique, les acteurs ivoiriens, en particulier
les pharmaciens, puissent faire une intégration en amont au niveau de la production. C’est le
message fondamental », rappelle sans cesse le ministre qui, au cours de cette visite,
était accompagné par le président du conseil d’administration de Cipharm, l’Ivoirien Diawara Ibrahima.
Le ministre l’a félicité, lui et son équipe pour le travail qu’ils abattent au quotidien pour le développement de l’industrie pharmaceutique dans le pays. Sur neuf unités de production répertoriées dans le pays, cinq sont actives.
À savoir, Olea, Cipharm, Lic pharma, Pharmivoire Nouvelle, Lpci. En renforçant le marché de la production, le gouvernement rassure qu’en plus d’augmenter la disponibilité des médicaments, le pays va dépendre moins de l’extérieur.
Par ailleurs, cela va faciliter l’accès des populations aux médicaments à des coûts réduits, renforcer la recherche, développer la pharmacopée et surtout lutter efficacement contre les médicaments de la rue qui est « un fléau », selon le ministre de l’Industrie.
Atapointe