L’unité d’intervention de la Gendarmerie nationale (UIGN) a procédé, ce vendredi, à une opération d’interpellation "de terroristes", lors d’un exercice militaire opéré au champs de tirs du camp de gendarmerie d’Agban.
Cette opération de police judiciaire simulée a consisté à interpeller par des moyens spéciaux des terroristes, selon des renseignements reçus qui indiquaient la préparation d’une attaque dans un domicile à Abidjan.
Une sommation a été effectuée par une unité d'élite de l'UIGN, après l’intervention des engins volants , des drones pour la reconnaissance aérienne des lieux de combat. Une attaque frontale des éléments de cette entité d’élite de la gendarmerie bien aguerris au combat a permis de mettre hors d’état de nuire ces terroristes.
Cette riposte énergétique de cette unité spéciale a butté face à des terroristes armés d’engins explosifs. Un repli tactique bien élaboré avec des tirs de protection a été mis en œuvre pour laisser la place à l’unité cynophile. Une section de la gendarmerie, qui à l’aide d’un chien renifleur et d'un robot ont pu détectés et déterminés l’emplacement précis des engins explosifs avant de procéder à leur destruction .
Cette manœuvre militaire bien menée en présence du ministre d’Etat, ministre de la défense, Hamed Bakayoko traduit la capacité de la gendarmerie ivoirienne à répondre avec efficacité et promptitude à toutes menaces d’individus dangereux, en tenant compte du terrain, du genre de l’événement et de moyens de l’adversaire, selon le commandant de l’UIGN, le colonel Bassanté Aly.
La Côte d’ivoire peut se targuer d’avoir des capacités opérationnelles sur place pour faire face au terrorisme, grâce à l'Unité d'intervention de la police nationale (FRAP), de l’UIGN et des forces spéciales de l’armée ivoirienne, indique-t-on.
nmfa/kam
Cette opération de police judiciaire simulée a consisté à interpeller par des moyens spéciaux des terroristes, selon des renseignements reçus qui indiquaient la préparation d’une attaque dans un domicile à Abidjan.
Une sommation a été effectuée par une unité d'élite de l'UIGN, après l’intervention des engins volants , des drones pour la reconnaissance aérienne des lieux de combat. Une attaque frontale des éléments de cette entité d’élite de la gendarmerie bien aguerris au combat a permis de mettre hors d’état de nuire ces terroristes.
Cette riposte énergétique de cette unité spéciale a butté face à des terroristes armés d’engins explosifs. Un repli tactique bien élaboré avec des tirs de protection a été mis en œuvre pour laisser la place à l’unité cynophile. Une section de la gendarmerie, qui à l’aide d’un chien renifleur et d'un robot ont pu détectés et déterminés l’emplacement précis des engins explosifs avant de procéder à leur destruction .
Cette manœuvre militaire bien menée en présence du ministre d’Etat, ministre de la défense, Hamed Bakayoko traduit la capacité de la gendarmerie ivoirienne à répondre avec efficacité et promptitude à toutes menaces d’individus dangereux, en tenant compte du terrain, du genre de l’événement et de moyens de l’adversaire, selon le commandant de l’UIGN, le colonel Bassanté Aly.
La Côte d’ivoire peut se targuer d’avoir des capacités opérationnelles sur place pour faire face au terrorisme, grâce à l'Unité d'intervention de la police nationale (FRAP), de l’UIGN et des forces spéciales de l’armée ivoirienne, indique-t-on.
nmfa/kam