Le premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly est attendu le 4 novembre prochain à Katiola (environ 400 km au Nord d’Abidjan) où il procédera au lancement des travaux de réhabilitation de la route Bouaké-Ferkessédougou, longue de 266 km et reliant le Centre au Nord ivoirien.
L’information a été portée à la connaissance des autorités locales des villes de Bouaké et de Katiola, jeudi, lors d’une cérémonie présidée par le conseiller technique du ministre des infrastructures économiques, Abou Nibi Coulibaly.
Selon cet émissaire, les travaux de cette voie financés par l’Agence française de développement (AFD) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D) dureront 24 mois.
La situation de dégradation avancée de cette principale voie reliant le Centre au Nord ivoirien, devenue par ricochet l’endroit rêvé pour les coupeurs de route suscite depuis quelques temps, de vives réactions des populations de cette partie du pays.
Début septembre, des habitants des villes de Tafiré, Niakaramadougou, et Badikaha (Nord ivoirien), se disant ‘’excédées’’ par cette situation avaient bloqué la circulation pendant plusieurs heures sur cette route internationale menant au Burkina Faso et au Mali, pour attirer l’attention de l’Etat.
CK/ls/APA
L’information a été portée à la connaissance des autorités locales des villes de Bouaké et de Katiola, jeudi, lors d’une cérémonie présidée par le conseiller technique du ministre des infrastructures économiques, Abou Nibi Coulibaly.
Selon cet émissaire, les travaux de cette voie financés par l’Agence française de développement (AFD) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D) dureront 24 mois.
La situation de dégradation avancée de cette principale voie reliant le Centre au Nord ivoirien, devenue par ricochet l’endroit rêvé pour les coupeurs de route suscite depuis quelques temps, de vives réactions des populations de cette partie du pays.
Début septembre, des habitants des villes de Tafiré, Niakaramadougou, et Badikaha (Nord ivoirien), se disant ‘’excédées’’ par cette situation avaient bloqué la circulation pendant plusieurs heures sur cette route internationale menant au Burkina Faso et au Mali, pour attirer l’attention de l’Etat.
CK/ls/APA