Bloléquin - La vente illicite des médicaments pharmaceutiques prohibés progresse considérablement dans la ville de Blolequin avec des médicaments exposés à la poussière, vendus sans notice dans des boîtes quelconques, parfois sans emballage et manipulés par des individus n’ayant aucune compétence requise.
Des patients se procurent ces médicaments à moindre coût grâce à des vendeurs de médicaments à la sauvette, jeunes et personnes âgées qui, le plus souvent, n’ont suivi aucune formation médicale.
En bordure des routes, les gares routières, sur les étales des marchés, au coin des rues, ces vendeurs ambulants qui souvent parcourent les maisons des quartiers, attirent leur clientèle par le coût bas de leurs prestations.
« Bien sûr, nous sommes très conscients de notre activité, nous savons ce que nous vendons et ce que nous donnons aux malades n’est pas du faux. Nous prenons toujours le soin de vérifier la date de péremption avant de vendre le médicament », se défend l’un des vendeurs interrogés.
Des vendeurs et autres consommateurs rencontrés ne tarissent pas d’éloges pour ces médicaments obtenus sans l’assentiment d’un médecin assermenté. « Curieusement, ils ont le don de soulager, on ne sait par quelle magie », s’étonne une dame, la quarantaine, venue accompagner un malade ayant tout l’air d’un habitué.
Pour les pharmaciens, des mesures drastiques doivent être prises pour contrer ce phénomène, eu égard au risque sur la santé communautaire. « Ce que les gens ne savent pas, c’est qu’il se trouve que chaque jour, au moins dix personnes viennent en consultation pour insuffisance rénale, dont une, au moins, en meurt quotidiennement», a relevé un pharmacien.
Des drames qui seraient la conséquence probable de la prise de ces médicaments contrefaits vendus sur les marchés et à la sauvette.
Pour lui, les gens portent contre des accusations farfelues prétextant de ne pas comprendre leur refus d'accepter de jouer le jeu de la concurrence par des prix de vente très abordables. « Nos prix sont élevés certes, mais nous garantissons la qualité et le conditionnement : les médicaments sont en sécurité chez nous. », a-t-il assuré.
Il y a quelques semaines, le gouvernement a engagé la lutte contre les médicaments de la rue. C'est ainsi que l'un des plus grands marchés de ce trafic, basé à Adjamé Roxi, a été démoli.
sgb/nmfa
Des patients se procurent ces médicaments à moindre coût grâce à des vendeurs de médicaments à la sauvette, jeunes et personnes âgées qui, le plus souvent, n’ont suivi aucune formation médicale.
En bordure des routes, les gares routières, sur les étales des marchés, au coin des rues, ces vendeurs ambulants qui souvent parcourent les maisons des quartiers, attirent leur clientèle par le coût bas de leurs prestations.
« Bien sûr, nous sommes très conscients de notre activité, nous savons ce que nous vendons et ce que nous donnons aux malades n’est pas du faux. Nous prenons toujours le soin de vérifier la date de péremption avant de vendre le médicament », se défend l’un des vendeurs interrogés.
Des vendeurs et autres consommateurs rencontrés ne tarissent pas d’éloges pour ces médicaments obtenus sans l’assentiment d’un médecin assermenté. « Curieusement, ils ont le don de soulager, on ne sait par quelle magie », s’étonne une dame, la quarantaine, venue accompagner un malade ayant tout l’air d’un habitué.
Pour les pharmaciens, des mesures drastiques doivent être prises pour contrer ce phénomène, eu égard au risque sur la santé communautaire. « Ce que les gens ne savent pas, c’est qu’il se trouve que chaque jour, au moins dix personnes viennent en consultation pour insuffisance rénale, dont une, au moins, en meurt quotidiennement», a relevé un pharmacien.
Des drames qui seraient la conséquence probable de la prise de ces médicaments contrefaits vendus sur les marchés et à la sauvette.
Pour lui, les gens portent contre des accusations farfelues prétextant de ne pas comprendre leur refus d'accepter de jouer le jeu de la concurrence par des prix de vente très abordables. « Nos prix sont élevés certes, mais nous garantissons la qualité et le conditionnement : les médicaments sont en sécurité chez nous. », a-t-il assuré.
Il y a quelques semaines, le gouvernement a engagé la lutte contre les médicaments de la rue. C'est ainsi que l'un des plus grands marchés de ce trafic, basé à Adjamé Roxi, a été démoli.
sgb/nmfa
