Abidjan – Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a organisé, jeudi à Abidjan, un atelier consacré à la restitution et à la validation des données statistiques 2016-2017 des établissements d’enseignement supérieur pour la prise de décisions et politiques avisées basées sur des données fiables.
La rencontre visait à faire connaître aux acteurs du secteur éducation-formation les données collectées et traitées, de les valider et de mettre à la disposition des acteurs, une liste d’indicateurs usuels permettant de piloter efficacement le dispositif d’enseignement supérieur.
Il ressort des données provisoires 183 519 étudiants contre 203 555 en 2015-2016 encadrés par 17 517 enseignants dans 319 établissements publics et privés.
Toutefois, le directeur de la planification, Pr Sylla Moussa, a déploré le retard enregistré par 18% des établissements qui n’ont pas encore ou qui ont mal renseigné les fiches, tout comme le difficile accès aux structures sous tutelle d’autres ministères et des problèmes d’archivage des données dans certains établissements. Aussi, la mise en place d’une application Web pour la collecte des données en ligne devrait-elle faciliter la collecte des données.
Au nom de la ministre Bakayoko-Ly Ramata, le directeur de cabinet Assane Thiam a rappelé que les statistiques sont indispensables dans tous les secteurs d’activité pour le développement socio-économique, appelant les établissements retardataires à corriger cette situation pour que le ministère dispose « d’indicateurs crédibles, fiables et comparables ».
aaa/cmas
La rencontre visait à faire connaître aux acteurs du secteur éducation-formation les données collectées et traitées, de les valider et de mettre à la disposition des acteurs, une liste d’indicateurs usuels permettant de piloter efficacement le dispositif d’enseignement supérieur.
Il ressort des données provisoires 183 519 étudiants contre 203 555 en 2015-2016 encadrés par 17 517 enseignants dans 319 établissements publics et privés.
Toutefois, le directeur de la planification, Pr Sylla Moussa, a déploré le retard enregistré par 18% des établissements qui n’ont pas encore ou qui ont mal renseigné les fiches, tout comme le difficile accès aux structures sous tutelle d’autres ministères et des problèmes d’archivage des données dans certains établissements. Aussi, la mise en place d’une application Web pour la collecte des données en ligne devrait-elle faciliter la collecte des données.
Au nom de la ministre Bakayoko-Ly Ramata, le directeur de cabinet Assane Thiam a rappelé que les statistiques sont indispensables dans tous les secteurs d’activité pour le développement socio-économique, appelant les établissements retardataires à corriger cette situation pour que le ministère dispose « d’indicateurs crédibles, fiables et comparables ».
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