Bouaké - Des rogues et produits pharmaceutiques prohibés d’une valeur commerciale estimée à près 90 millions FCFA, saisis par de la cellule antidrogue de la 3e légion territoriale de la gendarmerie ont été incinérés, mardi, à Bouaké, en présence des autorités locales.
Les stocks incinérés sont composés de divers produits notamment, 16, 22 grammes d’Héroïne, 69, 042 kilogrammes de Cannabis, 929 grammes de Diazépam, 51 grammes de Tramadol et 2,125 tonnes de produits pharmaceutiques non enregistrés, saisis dans la période du 1er janvier au 31 octobre, au cours des services habituels de la cellule antidrogue à savoir les patrouilles, les contrôles au niveau des corridors, les perquisitions en brousse, l’exploitation des renseignements.
Le chef de la cellule antidrogue de la 3e légion territoriale de la gendarmerie, capitaine Djessan Bi Richard, a indiqué que dans la même période, 55 personnes, en majorité des vendeurs de ces produits, ont été interpellées et déférées à la maison d’arrêt et de correction de Bouaké et de Katiola. Parmi ces personnes, figurent trois femmes et 52 hommes de nationalité ivoirienne, malienne, burkinabé, nigérienne, ghanéenne et béninoise.
«On ne peut pas traquer valablement les bandits sans agir en amont puisque la plupart de ces gens agissent sous l’impulsion et le contrôle de ces produits prohibés», a souligné le substitut du procureur près le tribunal de première instance de Bouaké, Angbomon Messou Firmin, saluant le travail effectué par la gendarmerie.
Il a fait savoir que cette incinération n’est que l’autre face de l’opération d’envergure menée de concert par le ministère public et les forces de l’ordre. Au niveau du parquet, a-t-il expliqué, les personnes traquées sont mises à la disposition du tribunal et les représentants du ministère ont toujours présenté les arguments pour soutenir les accusations de sorte à punir ces consommateurs et commerçants de ces produits prohibés.
«Je ne peux que me réjouir parce que la drogue constitue un véritable danger non seulement pour les jeunes mais je dirai pour toute la population», a déclaré le préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké, Aka Konin.
Il a félicité la gendarmerie pour ce travail abattu et encourage l’ensemble des forces de l’ordre à poursuivre leurs actions contre les trafiquants et consommateurs de drogues pour freiner le banditisme.
nbf/akn/fmo
Les stocks incinérés sont composés de divers produits notamment, 16, 22 grammes d’Héroïne, 69, 042 kilogrammes de Cannabis, 929 grammes de Diazépam, 51 grammes de Tramadol et 2,125 tonnes de produits pharmaceutiques non enregistrés, saisis dans la période du 1er janvier au 31 octobre, au cours des services habituels de la cellule antidrogue à savoir les patrouilles, les contrôles au niveau des corridors, les perquisitions en brousse, l’exploitation des renseignements.
Le chef de la cellule antidrogue de la 3e légion territoriale de la gendarmerie, capitaine Djessan Bi Richard, a indiqué que dans la même période, 55 personnes, en majorité des vendeurs de ces produits, ont été interpellées et déférées à la maison d’arrêt et de correction de Bouaké et de Katiola. Parmi ces personnes, figurent trois femmes et 52 hommes de nationalité ivoirienne, malienne, burkinabé, nigérienne, ghanéenne et béninoise.
«On ne peut pas traquer valablement les bandits sans agir en amont puisque la plupart de ces gens agissent sous l’impulsion et le contrôle de ces produits prohibés», a souligné le substitut du procureur près le tribunal de première instance de Bouaké, Angbomon Messou Firmin, saluant le travail effectué par la gendarmerie.
Il a fait savoir que cette incinération n’est que l’autre face de l’opération d’envergure menée de concert par le ministère public et les forces de l’ordre. Au niveau du parquet, a-t-il expliqué, les personnes traquées sont mises à la disposition du tribunal et les représentants du ministère ont toujours présenté les arguments pour soutenir les accusations de sorte à punir ces consommateurs et commerçants de ces produits prohibés.
«Je ne peux que me réjouir parce que la drogue constitue un véritable danger non seulement pour les jeunes mais je dirai pour toute la population», a déclaré le préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké, Aka Konin.
Il a félicité la gendarmerie pour ce travail abattu et encourage l’ensemble des forces de l’ordre à poursuivre leurs actions contre les trafiquants et consommateurs de drogues pour freiner le banditisme.
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