Abidjan - La ministre de la femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Mariatou Koné a salué lundi, l’organisation à Abidjan du colloque sur le dialogue inter religieux initié par l’ambassade d’Israel en Côte d’Ivoire, la fondation Konrad Adenauer Stiftung (KAS) et le centre de recherche politique d’Abidjan (CRAP).
Selon elle, de telles rencontres amèneront à briser les murs de méfiance, à rapprocher les peuples et les communautés et à créer des cadres de synergie au profit de la paix, du bien vivre ensemble, de la tolérance et de l’amour du prochain.
« En effet, c’est dans un cadre d’échanges et de dialogue que nous parviendrons à décloisonner les postures et les lectures religieuses parfois sectaires et passionnées, un tel cadre aura pour but de conditionner les différentes communautés à s’enrichir mutuellement de leurs différences, de leurs diversités », a déclaré Mariatou Koné.
Elle a ajouté que l’extrémisme, l’intolérance et le rejet de l’autre ne peuvent pas être imputables ou imputés aux différentes religions car toutes les communautés revendiquent l’amour du prochain comme base de leur apostolat.
« Je pense que ce sont des comportements qui découleraient de l’ignorance et de la fermeture de l’esprit de certains adeptes. L’ouverture d’un dialogue interreligieux semble l’espoir de voir un nombre d’amour, l’acceptation et de différence plurielle », a-t-elle souligné.
sdaf/fmo
Selon elle, de telles rencontres amèneront à briser les murs de méfiance, à rapprocher les peuples et les communautés et à créer des cadres de synergie au profit de la paix, du bien vivre ensemble, de la tolérance et de l’amour du prochain.
« En effet, c’est dans un cadre d’échanges et de dialogue que nous parviendrons à décloisonner les postures et les lectures religieuses parfois sectaires et passionnées, un tel cadre aura pour but de conditionner les différentes communautés à s’enrichir mutuellement de leurs différences, de leurs diversités », a déclaré Mariatou Koné.
Elle a ajouté que l’extrémisme, l’intolérance et le rejet de l’autre ne peuvent pas être imputables ou imputés aux différentes religions car toutes les communautés revendiquent l’amour du prochain comme base de leur apostolat.
« Je pense que ce sont des comportements qui découleraient de l’ignorance et de la fermeture de l’esprit de certains adeptes. L’ouverture d’un dialogue interreligieux semble l’espoir de voir un nombre d’amour, l’acceptation et de différence plurielle », a-t-elle souligné.
sdaf/fmo