Bongouanou, 07 nov (AIP) – Les frais annexes ne remettent pas en cause le principe de la gratuité de l’école et n’ont jamais été supprimés mais leur paiement suspendu, a précisé, lundi, l’Inspecteur général du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kourouma Ibrahim.
M. Kourouma a fait ces précisions lors d’une réunion d’information et de sensibilisation au foyer polyvalent de Bongouanou, en présence des autorités administratives, politiques et traditionnelles locales. Réunion tenue suite à une grève lancée depuis le 23 octobre par les élèves du Lycée moderne de Bongouanou pour réclamer leurs droits d’inscription payés en début d’année scolaire, sous prétexte que ces frais seraient supprimés.
L’Inspecteur général a fait comprendre que la gratuité de l’école n’est pas totale. Les parents doivent prendre en charge certains frais concernant les inscriptions et les manuels scolaires, néanmoins au primaire, l’Etat participe à un certain niveau en offrant des kits scolaires.
Les frais d’inscription (en ligne et physiques) servent à aider les établissements à fonctionner, à assurer la formation des enseignants, à la confection des cartes scolaires des élèves, à l’achat des livrets et carnets de correspondance. Alors, « les bruits faits autour des inscriptions sont inutiles », a-t-il soutenu.
M. Kourouma a insisté sur le fait qu’il n’y a pas d’arrêt et de suppression de ces frais annexes. Ils ont simplement été suspendus. Malgré la gratuité de l’Ecole, ils sont indispensables pour la bonne marche des études. Alors, les élèves qui ne les ont pas encore payés, le feront à une date qui n’a pas encore été arrêtée. Toutefois, ces frais seront dorénavant uniformisés sur toute l’étendue du territoire national.
(AIP)
dmc/aaa/cmas
M. Kourouma a fait ces précisions lors d’une réunion d’information et de sensibilisation au foyer polyvalent de Bongouanou, en présence des autorités administratives, politiques et traditionnelles locales. Réunion tenue suite à une grève lancée depuis le 23 octobre par les élèves du Lycée moderne de Bongouanou pour réclamer leurs droits d’inscription payés en début d’année scolaire, sous prétexte que ces frais seraient supprimés.
L’Inspecteur général a fait comprendre que la gratuité de l’école n’est pas totale. Les parents doivent prendre en charge certains frais concernant les inscriptions et les manuels scolaires, néanmoins au primaire, l’Etat participe à un certain niveau en offrant des kits scolaires.
Les frais d’inscription (en ligne et physiques) servent à aider les établissements à fonctionner, à assurer la formation des enseignants, à la confection des cartes scolaires des élèves, à l’achat des livrets et carnets de correspondance. Alors, « les bruits faits autour des inscriptions sont inutiles », a-t-il soutenu.
M. Kourouma a insisté sur le fait qu’il n’y a pas d’arrêt et de suppression de ces frais annexes. Ils ont simplement été suspendus. Malgré la gratuité de l’Ecole, ils sont indispensables pour la bonne marche des études. Alors, les élèves qui ne les ont pas encore payés, le feront à une date qui n’a pas encore été arrêtée. Toutefois, ces frais seront dorénavant uniformisés sur toute l’étendue du territoire national.
(AIP)
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