Konaté Issiaka, directeur général des Ivoiriens de l’extérieur a annoncé la mise en place de comités régionaux de lutte contre le phénomène de l’immigration clandestine, le jeudi 2 novembre, au déjeuner de presse organisé par le ministère de l’intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, au Palm club hôtel, sis à Cocody. L’objectif, dira-t-il, est de mener une campagne de proximité, à l’intérieur du pays pour décourager les candidats éventuels à l’aventure européenne. Il a souhaité que les comités soient composés à la fois de représentants de l’administration, de la société civile ainsi que des jeunes et des femmes pour plus d’efficacité. « Nous proposons que les comités régionaux soient composés du préfet, du commissaire, des dignitaires religieux, des jeunes et des femmes », a-t-il.
A l’extérieur du pays, la direction des Ivoiriens de l’extérieur envisage une politique active en collaboration avec des partenaires internationaux pour inciter ceux qui désirent rentrer au pays à effectuer leur retour, dans les conditions idoines. Dans cette optique, Konaté Issiaka a signalé la mise en route du Fonds fiduciaire de l’Union européenne. Ce fonds, précisera-t-il, est là pour financer les projets des candidats au retour volontaire, en vue de leur réinsertion.
En autres partenaires du gouvernement ivoirien, le gouvernement allemand. Qui met également des moyens à la disposition de ceux qui désirent revenir au pays. Le directeur des Ivoiriens de l’extérieur a fait savoir par ailleurs que pour donner des chances de réussite au projet de retour volontaire des immigrés ivoiriens et capitaliser les acquis de la diaspora, le gouvernement a proposé une reforme de l’organisation de la communauté ivoirienne. Cela, a-t-il indiqué, doit conduire à la création de faitières regroupant l’ensemble des structures existantes. L’objectif ici étant d’avoir des interlocuteurs crédibles pour une discussion franche avec l’Etat. Konaté Issiaka a évoqué l’exemple des pays comme le Sénégal, la Mauritanie et le Mali qui ont une plus longue expérience dans la gestion de leur diaspora.
Pour l’heure, face à l’urgence des personnes en situation de difficulté, le directeur a mentionné les opérations de rapatriements organisés par le gouvernement avec l’appui de l’Organisation internationale pour les migrations (Oim). Il a rappelé les opérations conduites en Libye qui ont permis de sauver des centaines de personnes. A cela, il conjoint d’ajouter les tournées de sensibilisées effectués dans les zones dites à risque. Le plan a-t-il souligné prend en compte les pays de transit et les pays d’accueil.
César ébrokié
A l’extérieur du pays, la direction des Ivoiriens de l’extérieur envisage une politique active en collaboration avec des partenaires internationaux pour inciter ceux qui désirent rentrer au pays à effectuer leur retour, dans les conditions idoines. Dans cette optique, Konaté Issiaka a signalé la mise en route du Fonds fiduciaire de l’Union européenne. Ce fonds, précisera-t-il, est là pour financer les projets des candidats au retour volontaire, en vue de leur réinsertion.
En autres partenaires du gouvernement ivoirien, le gouvernement allemand. Qui met également des moyens à la disposition de ceux qui désirent revenir au pays. Le directeur des Ivoiriens de l’extérieur a fait savoir par ailleurs que pour donner des chances de réussite au projet de retour volontaire des immigrés ivoiriens et capitaliser les acquis de la diaspora, le gouvernement a proposé une reforme de l’organisation de la communauté ivoirienne. Cela, a-t-il indiqué, doit conduire à la création de faitières regroupant l’ensemble des structures existantes. L’objectif ici étant d’avoir des interlocuteurs crédibles pour une discussion franche avec l’Etat. Konaté Issiaka a évoqué l’exemple des pays comme le Sénégal, la Mauritanie et le Mali qui ont une plus longue expérience dans la gestion de leur diaspora.
Pour l’heure, face à l’urgence des personnes en situation de difficulté, le directeur a mentionné les opérations de rapatriements organisés par le gouvernement avec l’appui de l’Organisation internationale pour les migrations (Oim). Il a rappelé les opérations conduites en Libye qui ont permis de sauver des centaines de personnes. A cela, il conjoint d’ajouter les tournées de sensibilisées effectués dans les zones dites à risque. Le plan a-t-il souligné prend en compte les pays de transit et les pays d’accueil.
César ébrokié