Abidjan - Le premier ministre du Burkina Faso, Paul Kaba Thiéba qui s’exprimait jeudi à Abidjan, sur l’interpellation en France du frère de l’ancien président Burkinabé, François Compaoré, a souhaité que justice soit rendue s’agissant de l’affaire sur la mort du journaliste Robert Zongo.
« Nous, en tant que républicains nous n’interférons pas dans les décisions de justice. Ce que nous souhaitons, c’est que justice soit rendue et que la sérénité revienne », a-t-il déclaré.
« Vous savez, l’histoire du Burkina Faso a été émaillée pendant ces dernières années par tellement de choses et les burkinabé souhaitent savoir la vérité sur pas mal de dossiers. Je ne doute pas de la culpabilité ou de l’innocence de qui que ce soit mais il est important que ce tous ceux qui ont eu à exercer leur responsabilité pendant ces périodes difficiles de notre pays, fassent le devoir de redevabilité vis-à-vis du pays, qu’ils puissent rendent compte si la justice l’estime », a-t-il ajouté parce que selon lui, le Burkina Faso est un pays de droit et de liberté.
«Le Burkina Faso est un pays de liberté, le Burkina Faso de Roch Christian Kaboré est un pays de droit. C’est fini le temps où on embastillait les gens, ou les gens disparaissaient. C’est fini ça, c’est un pays où règne la primauté du droit, où règne la préservation des droits humains », a-t-il souligné.
François Compaoré a été interpellé le 29 octobre à l’aéroport Charles-de-Gaulle, à Paris en France par la justice française en application d’un mandat d’arrêt international dans le cadre de l’enquête sur la mort du journaliste burkinabé Norbert Zongo.
sdaf/akn/fmo
« Nous, en tant que républicains nous n’interférons pas dans les décisions de justice. Ce que nous souhaitons, c’est que justice soit rendue et que la sérénité revienne », a-t-il déclaré.
« Vous savez, l’histoire du Burkina Faso a été émaillée pendant ces dernières années par tellement de choses et les burkinabé souhaitent savoir la vérité sur pas mal de dossiers. Je ne doute pas de la culpabilité ou de l’innocence de qui que ce soit mais il est important que ce tous ceux qui ont eu à exercer leur responsabilité pendant ces périodes difficiles de notre pays, fassent le devoir de redevabilité vis-à-vis du pays, qu’ils puissent rendent compte si la justice l’estime », a-t-il ajouté parce que selon lui, le Burkina Faso est un pays de droit et de liberté.
«Le Burkina Faso est un pays de liberté, le Burkina Faso de Roch Christian Kaboré est un pays de droit. C’est fini le temps où on embastillait les gens, ou les gens disparaissaient. C’est fini ça, c’est un pays où règne la primauté du droit, où règne la préservation des droits humains », a-t-il souligné.
François Compaoré a été interpellé le 29 octobre à l’aéroport Charles-de-Gaulle, à Paris en France par la justice française en application d’un mandat d’arrêt international dans le cadre de l’enquête sur la mort du journaliste burkinabé Norbert Zongo.
sdaf/akn/fmo