Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le ministre ivoirien du Pétrole, de l’énergie et du développement des énergies renouvelables, Thierry Tanoh a soutenu, vendredi soir à Abidjan que le développement de l’énergie en Afrique est ‘’impossible sans le secteur privé’’.
Il s’exprimait à la tribune du think thank Afrikamaono, présidé par le secrétaire d’Etat ivoirien chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle Mamadou Touré. A cette occasion, M. Tanoh s’est penché sur plusieurs sujets liés au continent africain notamment les enjeux énergétiques, le terrorisme, la formation professionnelle la tribune en prélude au prochain sommet Union Africaine-Union européenne prévu à Abidjan.
Selon le ministre Thierry Tanoh, avec «un taux de couverture de 53% et 81% de taux d’accès… » la Côte d’Ivoire a « l’un des meilleurs (taux) d’Afrique subsaharienne ».Toutefois, il a noté que la situation n’est pas assez reluisante de manière générale en Afrique.
Parmi les causes de ce déficit, l’on note «l’instabilité politique, les crises chroniques, le manque de politique énergétique, les difficultés de planification».
“Il est impossible que l’énergie se développe sans le secteur privé. L’un des challenges c’est d’investir dans le réseau de distribution », a soutenu M. Tanoh. Pour ce panéliste, c’est un secteur qu’il ne faut pas négliger. « C’est un secteur qu’il ne faut pas négliger, sur lequel il faut prendre des engagements », a-t-il conclu.
Le Directeur des filières de l’innovation et de la qualité du secrétariat d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Philippe Bouedy se prononçant sur l’employabilité des jeunes en Afrique a dénoncé « le perception négative des jeunes vis-à-vis de la formation professionnelle ».
Il a également proposé la mise à jour régulière des filières de formation. Afrikamaono créée en 2015 à Paris regroupe plusieurs anciens de Sciences Pô Paris issus du secteur privé, de la finance internationale, de l’administration publique, de la diplomatie, des multinationales provenant de 13 pays africains.
Cette structure ambitionne d’apporter des solutions pérennes pour contribuer au rayonnement des territoires du continent à travers une stratégie en réseau afin que toutes les entités concernées puissent bénéficier de ces avancées économiques et sociales.
SY/ls/APA
Il s’exprimait à la tribune du think thank Afrikamaono, présidé par le secrétaire d’Etat ivoirien chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle Mamadou Touré. A cette occasion, M. Tanoh s’est penché sur plusieurs sujets liés au continent africain notamment les enjeux énergétiques, le terrorisme, la formation professionnelle la tribune en prélude au prochain sommet Union Africaine-Union européenne prévu à Abidjan.
Selon le ministre Thierry Tanoh, avec «un taux de couverture de 53% et 81% de taux d’accès… » la Côte d’Ivoire a « l’un des meilleurs (taux) d’Afrique subsaharienne ».Toutefois, il a noté que la situation n’est pas assez reluisante de manière générale en Afrique.
Parmi les causes de ce déficit, l’on note «l’instabilité politique, les crises chroniques, le manque de politique énergétique, les difficultés de planification».
“Il est impossible que l’énergie se développe sans le secteur privé. L’un des challenges c’est d’investir dans le réseau de distribution », a soutenu M. Tanoh. Pour ce panéliste, c’est un secteur qu’il ne faut pas négliger. « C’est un secteur qu’il ne faut pas négliger, sur lequel il faut prendre des engagements », a-t-il conclu.
Le Directeur des filières de l’innovation et de la qualité du secrétariat d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Philippe Bouedy se prononçant sur l’employabilité des jeunes en Afrique a dénoncé « le perception négative des jeunes vis-à-vis de la formation professionnelle ».
Il a également proposé la mise à jour régulière des filières de formation. Afrikamaono créée en 2015 à Paris regroupe plusieurs anciens de Sciences Pô Paris issus du secteur privé, de la finance internationale, de l’administration publique, de la diplomatie, des multinationales provenant de 13 pays africains.
Cette structure ambitionne d’apporter des solutions pérennes pour contribuer au rayonnement des territoires du continent à travers une stratégie en réseau afin que toutes les entités concernées puissent bénéficier de ces avancées économiques et sociales.
SY/ls/APA