Abidjan- Le technicien belge, limogé pour ses mauvais résultats avec les Eléphants de Côte d’Ivoire, percevra des indemnités de rupture de contrat de la part de la Fédération ivoirienne de football (FIF), a annoncé jeudi, à Abidjan, son premier vice-président, Sory Diabaté.
Invité mercredi, de l’émission « Vérités des sports » de Radio Côte d’Ivoire, M. Diabaté n’a pas voulu révéler le montant convenu mais a toutefois réfuté le montant de 524 millions de francs révélé par la presse au lendemain de la séparation à "l’amiable" suite à l’élimination de l’équipe nationale à la coupe du monde de 2018, en Russie.
« Nous n’avons payé à ce jour aucun franc à l’entraîneur. Nous lui verserons une indemnité de rupture nettement inférieure à ce qui a été annoncé. Il ne sera pas payé d’un coup mais par mensualité sur un certain nombre de mois », a-t-il affirmé, précisant que ce n’est que le 24 novembre que les deux parties ont pu s’accorder sur ledit montant.
La FIF a mis fin au contrat de deux ans qui le liait à Marc Wilmots à la suite de la défaite de la Côte d’Ivoire contre le Maroc le 11 novembre, au stade Félix Houphouët-Boigny et qui prive les Eléphants d’une quatrième qualification d’affilée à un Mondial depuis 2006.
L’entraîneur belge aura passé six mois sur le banc de touche des Eléphants, rappelle-t-on.
fmo
Invité mercredi, de l’émission « Vérités des sports » de Radio Côte d’Ivoire, M. Diabaté n’a pas voulu révéler le montant convenu mais a toutefois réfuté le montant de 524 millions de francs révélé par la presse au lendemain de la séparation à "l’amiable" suite à l’élimination de l’équipe nationale à la coupe du monde de 2018, en Russie.
« Nous n’avons payé à ce jour aucun franc à l’entraîneur. Nous lui verserons une indemnité de rupture nettement inférieure à ce qui a été annoncé. Il ne sera pas payé d’un coup mais par mensualité sur un certain nombre de mois », a-t-il affirmé, précisant que ce n’est que le 24 novembre que les deux parties ont pu s’accorder sur ledit montant.
La FIF a mis fin au contrat de deux ans qui le liait à Marc Wilmots à la suite de la défaite de la Côte d’Ivoire contre le Maroc le 11 novembre, au stade Félix Houphouët-Boigny et qui prive les Eléphants d’une quatrième qualification d’affilée à un Mondial depuis 2006.
L’entraîneur belge aura passé six mois sur le banc de touche des Eléphants, rappelle-t-on.
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