Abidjan - Les pays membres de la CEDEAO se sont réunis lundi à Abidjan, dans le cadre d’un atelier de suivi et de planification annuelle de la coopération allemande à travers le GIZ, pour la mise en œuvre du programme frontière de l’Union africaine (PFUA) en Afrique de l’Ouest, afin d’arriver à une gestion harmonisée de leurs frontières.
Présidant l’ouverture de cet atelier, le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, a estimé que la question des frontières fait désormais partie des priorités au plan national de chacun des pays concernés. « L’ambition de l’émergence de la Côte d’Ivoire passe par des impératifs, parmi lesquels la frontière occupe une place de choix », a-t-il relevé.
Selon lui, les frontières dans l’espace communautaire méritent un traitement bien meilleur, au regard du fait qu’elles sont des espaces sensibles, porteurs d’un pan important de l’histoire des peuples.
« Une bonne gestion de nos frontières permettra de relever des nouveaux défis en matière de sécurité, de migration, d’immigration, de terrorisme, de coopération », a-t-il conseillé, se félicitant de cette rencontre à Abidjan.
Pour le représentant du président de la Commission de la CEDEAO, Ismaila Danzou, le nouveau paradigme du processus d’intégration vise à impliquer les populations à la base. « la CEDEAO invite les Etats et les différents acteurs à conjuguer leurs efforts dans la réalisation des projets communs structurants et concrets, qui améliorent les conditions de vie des populations vivant le long des frontières », a-t-il exhorté.
Le chargé des Affaires de l’ambassade de la République fédérale d’Allemagne en Côte d’Ivoire, Alexandre Callegaro, s’est félicité des efforts fournis par la Côte d’Ivoire dans la gestion de ses frontières avec ses voisins. Il a encouragé les pays bénéficiaires de l’appui de son pays dans le cadre de ce programme, à profiter des expériences acquises par les uns et les autres.
En Afrique de l’’Ouest, la mise en œuvre du PFUA connait des avancées significatives avec des résultats probants, a-t-il signalé. « Je vous rassure de notre disponibilité constante à vous appuyer pour l’amélioration des conditions de vie de vos populations frontalières », a conclu Alexandre Callegaro.
gak/tm
Présidant l’ouverture de cet atelier, le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, a estimé que la question des frontières fait désormais partie des priorités au plan national de chacun des pays concernés. « L’ambition de l’émergence de la Côte d’Ivoire passe par des impératifs, parmi lesquels la frontière occupe une place de choix », a-t-il relevé.
Selon lui, les frontières dans l’espace communautaire méritent un traitement bien meilleur, au regard du fait qu’elles sont des espaces sensibles, porteurs d’un pan important de l’histoire des peuples.
« Une bonne gestion de nos frontières permettra de relever des nouveaux défis en matière de sécurité, de migration, d’immigration, de terrorisme, de coopération », a-t-il conseillé, se félicitant de cette rencontre à Abidjan.
Pour le représentant du président de la Commission de la CEDEAO, Ismaila Danzou, le nouveau paradigme du processus d’intégration vise à impliquer les populations à la base. « la CEDEAO invite les Etats et les différents acteurs à conjuguer leurs efforts dans la réalisation des projets communs structurants et concrets, qui améliorent les conditions de vie des populations vivant le long des frontières », a-t-il exhorté.
Le chargé des Affaires de l’ambassade de la République fédérale d’Allemagne en Côte d’Ivoire, Alexandre Callegaro, s’est félicité des efforts fournis par la Côte d’Ivoire dans la gestion de ses frontières avec ses voisins. Il a encouragé les pays bénéficiaires de l’appui de son pays dans le cadre de ce programme, à profiter des expériences acquises par les uns et les autres.
En Afrique de l’’Ouest, la mise en œuvre du PFUA connait des avancées significatives avec des résultats probants, a-t-il signalé. « Je vous rassure de notre disponibilité constante à vous appuyer pour l’amélioration des conditions de vie de vos populations frontalières », a conclu Alexandre Callegaro.
gak/tm