Abidjan - Le ministre des Transports, Amadou Koné, a indiqué, mercredi à Abidjan, que les mesures de limitation d’importation des véhicules d’occasion et leur durée d’exploitation dans le transport de personnes ou de marchandises, adoptées en conseil des ministres, visent à protéger les Ivoiriens.
"C’est pour la sécurité des Ivoiriens. La volonté du gouvernement est de permettre aux compatriotes de se déplacer dans les meilleures conditions. Toutes les mesures seront examinées pour que nous relevions la qualité du transport en Côte d’Ivoire", a dit le ministre Amadou Koné.
Selon lui, la mesure vise à créer les conditions d’un service de transport public ou privé de personnes ou de marchandises plus sûr et plus confortable pour les usagers.
Tout en prenant l’exemple de plusieurs pays africains qui ont réussi à appliquer cette mesure sans problème, il a appelé les transporteurs et les populations à aider le gouvernement dans sa politique du bien-être social.
Le conseil des ministres a adopté un décret portant limitation de l’âge des véhicules d’occasion importés en Côte d’Ivoire.
Ainsi, l’âge limite des véhicules automobiles d’occasion affectés au transport public de personnes ou de marchandises est fixé à cinq ans pour les taxis, sept ans pour les minicars de neuf à 34 places, autant d’années pour les camionnettes dont le poids n’excède pas cinq tonnes, dix ans pour les cars de plus de 34 places, autant d’années pour les camions de cinq à dix tonnes et les camions de plus de 10 tonnes.
Quant à l’âge limite des véhicules de tourisme d’occasion importés, il est fixé à cinq ans à compter de la date de leur première mise en circulation à l’étranger.
Le conseil a également adopté un décret portant fixation des durées d’exploitation des véhicules affectés au transport public ou privé de personnes ou de marchandises.
Ces durées d’exploitation, à compter de la date de leur première mise en circulation, sont fixées à sept ans pour les taxis, dix ans pour les minicars n’excédant pas 34 places autant d’années pour les camionnettes de moins de cinq tonnes, 15 ans pour les cars de plus de 34 places, 20 ans pour les camions de cinq à dix tonnes et ceux de plus de 10 tonnes.
Une période transitoire de dix ans est accordée aux propriétaires des véhicules déjà en circulation et qui bénéficient d’une autorisation de transport, en vue de leur permettre de se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation, indique-t-on.
bsp/kp
"C’est pour la sécurité des Ivoiriens. La volonté du gouvernement est de permettre aux compatriotes de se déplacer dans les meilleures conditions. Toutes les mesures seront examinées pour que nous relevions la qualité du transport en Côte d’Ivoire", a dit le ministre Amadou Koné.
Selon lui, la mesure vise à créer les conditions d’un service de transport public ou privé de personnes ou de marchandises plus sûr et plus confortable pour les usagers.
Tout en prenant l’exemple de plusieurs pays africains qui ont réussi à appliquer cette mesure sans problème, il a appelé les transporteurs et les populations à aider le gouvernement dans sa politique du bien-être social.
Le conseil des ministres a adopté un décret portant limitation de l’âge des véhicules d’occasion importés en Côte d’Ivoire.
Ainsi, l’âge limite des véhicules automobiles d’occasion affectés au transport public de personnes ou de marchandises est fixé à cinq ans pour les taxis, sept ans pour les minicars de neuf à 34 places, autant d’années pour les camionnettes dont le poids n’excède pas cinq tonnes, dix ans pour les cars de plus de 34 places, autant d’années pour les camions de cinq à dix tonnes et les camions de plus de 10 tonnes.
Quant à l’âge limite des véhicules de tourisme d’occasion importés, il est fixé à cinq ans à compter de la date de leur première mise en circulation à l’étranger.
Le conseil a également adopté un décret portant fixation des durées d’exploitation des véhicules affectés au transport public ou privé de personnes ou de marchandises.
Ces durées d’exploitation, à compter de la date de leur première mise en circulation, sont fixées à sept ans pour les taxis, dix ans pour les minicars n’excédant pas 34 places autant d’années pour les camionnettes de moins de cinq tonnes, 15 ans pour les cars de plus de 34 places, 20 ans pour les camions de cinq à dix tonnes et ceux de plus de 10 tonnes.
Une période transitoire de dix ans est accordée aux propriétaires des véhicules déjà en circulation et qui bénéficient d’une autorisation de transport, en vue de leur permettre de se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation, indique-t-on.
bsp/kp