Des dizaines de femmes ont exprimé leur mécontentement face au manque d’eau dans les robinets depuis près de deux semaines, au sous-quartier « Sable » de Yopougon. Pour se faire entendre, elles sont descendues dans les rues, particulièrement sur l’axe « Carrefour sable-Institut des aveugles », très tôt ce mardi 12 décembre, perturbant un temps soit peu la circulation routière. Il a fallu l’intervention de la police pour rétablir le calme.
« On est fatigué. Pour avoir l’eau c’est compliqué. On ne sait même pas pourquoi ? Cette fois-ci, trop c’est trop », affirme Sita Coulibaly, une manifestante, sur un ton de dépit. La police est sur les lieux pour contenir tout débordement. « A notre vue, elles sont parties d’ici tout simplement », nous confie un policier sous le sceau de l’anonymat.
Sorties en grand nombre ce matin au quartier sable de Yopougon, ces femmes soutiennent vivre le calvaire chaque jour pour s’occuper de leurs familles. C’est pourquoi, pour se faire entendre, elles ont voulu empêcher toute circulation sur l’axe carrefour sable-complexe sportif de Yopougon, afin d’être entendues. La police a promptement réagi pour libérer la voie afin d’éviter le dressage de barrages et permettre aux travailleurs de rallier paisiblement leurs lieux de travail.
Contactée par PôleAfrique.info, le service communication de l’entreprise de distribution d’eau potable a rassuré sur les diligences faites pour le retour à la normale de la situation. « L’usine de Niangon 1 qui alimente ces sous-quartiers a subi un incident qui a perturbé la fourniture de l’eau potable à nos clients. La panne a été réparée mais l’eau de qualité servit à la population ne peut être resservie sans des travaux en amont sur le réseau. C’est ce travail pour prémunir la santé publique de notre clientèle qui se fait mais en fonction de la situation de la situation géographique des quartiers de Yopougon, le débit est faible » explique-t-on du côté de la Sodeci.
Poursuivant, il est fait état de « la mobilisation de trois camions citernes, d’équipes sur le terrain pour régler ce problème au plus vite. En début de soirée, ce jour, la situation devrait revenir à la normale » rassure-t-on du côté de la Sodeci.
« On est fatigué. Pour avoir l’eau c’est compliqué. On ne sait même pas pourquoi ? Cette fois-ci, trop c’est trop », affirme Sita Coulibaly, une manifestante, sur un ton de dépit. La police est sur les lieux pour contenir tout débordement. « A notre vue, elles sont parties d’ici tout simplement », nous confie un policier sous le sceau de l’anonymat.
Sorties en grand nombre ce matin au quartier sable de Yopougon, ces femmes soutiennent vivre le calvaire chaque jour pour s’occuper de leurs familles. C’est pourquoi, pour se faire entendre, elles ont voulu empêcher toute circulation sur l’axe carrefour sable-complexe sportif de Yopougon, afin d’être entendues. La police a promptement réagi pour libérer la voie afin d’éviter le dressage de barrages et permettre aux travailleurs de rallier paisiblement leurs lieux de travail.
Contactée par PôleAfrique.info, le service communication de l’entreprise de distribution d’eau potable a rassuré sur les diligences faites pour le retour à la normale de la situation. « L’usine de Niangon 1 qui alimente ces sous-quartiers a subi un incident qui a perturbé la fourniture de l’eau potable à nos clients. La panne a été réparée mais l’eau de qualité servit à la population ne peut être resservie sans des travaux en amont sur le réseau. C’est ce travail pour prémunir la santé publique de notre clientèle qui se fait mais en fonction de la situation de la situation géographique des quartiers de Yopougon, le débit est faible » explique-t-on du côté de la Sodeci.
Poursuivant, il est fait état de « la mobilisation de trois camions citernes, d’équipes sur le terrain pour régler ce problème au plus vite. En début de soirée, ce jour, la situation devrait revenir à la normale » rassure-t-on du côté de la Sodeci.