Abidjan - La classe moyenne monétaire ivoirienne représente une masse relativement limitée de 26,4 % de la population, selon une étude restituée par l’Agence française de développement (AFD), en collaboration avec le ministère du Plan et du développement lors d’un atelier, jeudi, à l’Ecole nationale des Statistiques et d’Economie Appliquée (ENSEA).
Les résultats provisoires de cette étude sur les classes moyennes en Côte d’Ivoire, faisant partie des travaux de recherche du Mémorandum de Dialogue Stratégique signé entre le gouvernement ivoirien et l’AFD révèlent également que 48,1% des chefs de ménage de cette classe moyenne est sans éducation. Dans une population ivoirienne majoritairement urbaine (à près de 60 %), seul 16 % de cette classe moyenne est abidjanaise, relève-t-on.
Procédant à l’ouverture de cet atelier, le représentant du ministère du Plan et du développement, Dr Yéo Nahoua a rappelé que le mémorandum signé vise à mettre en place un partenariat qui contribue à développer un programme de production intellectuelle en vue d’analyser les politiques publiques en Côte d’Ivoire de sorte à appréhender les potentialités et les vulnérabilités du modèle de croissance ainsi que les leviers de la transformation structurelle.
Selon M. Yéo, cette étude est capitale pour comprendre et anticiper l’évolution du modèle de croissance ivoirienne, plus particulièrement pour la réalisation de la vision du président Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’horizon 2020. Il a également félicité tous les chercheurs qui ont travaillé avec abnégation pour aboutir à ces résultats satisfaisants.
Selon certains auteurs, d’ici 2030, près de 80% de la classe moyenne globale est susceptible de vivre en dehors des pays riches et principalement dans les pays émergents.
(AIP)
bsb/fmo
Les résultats provisoires de cette étude sur les classes moyennes en Côte d’Ivoire, faisant partie des travaux de recherche du Mémorandum de Dialogue Stratégique signé entre le gouvernement ivoirien et l’AFD révèlent également que 48,1% des chefs de ménage de cette classe moyenne est sans éducation. Dans une population ivoirienne majoritairement urbaine (à près de 60 %), seul 16 % de cette classe moyenne est abidjanaise, relève-t-on.
Procédant à l’ouverture de cet atelier, le représentant du ministère du Plan et du développement, Dr Yéo Nahoua a rappelé que le mémorandum signé vise à mettre en place un partenariat qui contribue à développer un programme de production intellectuelle en vue d’analyser les politiques publiques en Côte d’Ivoire de sorte à appréhender les potentialités et les vulnérabilités du modèle de croissance ainsi que les leviers de la transformation structurelle.
Selon M. Yéo, cette étude est capitale pour comprendre et anticiper l’évolution du modèle de croissance ivoirienne, plus particulièrement pour la réalisation de la vision du président Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’horizon 2020. Il a également félicité tous les chercheurs qui ont travaillé avec abnégation pour aboutir à ces résultats satisfaisants.
Selon certains auteurs, d’ici 2030, près de 80% de la classe moyenne globale est susceptible de vivre en dehors des pays riches et principalement dans les pays émergents.
(AIP)
bsb/fmo