Abidjan - Le Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère des Affaires étrangères a décidé de la vulgarisation de la carte d’identité du réfugié (CIR), débutée, mercredi, par une opération d'affichage de visuels à Abidjan.
Une équipe du service a sillonné, à cet effet, différents établissements financiers ainsi que des administrations pour faire connaître cette carte, afin de l’intégrer dans les instruments de protection des personnes ayant le statut dans un Etat donné.
Les conventions en la matière obligent les Etats à délivrer à aux réfugiés un document d’identification leur permettant de circuler librement et d’accomplir les actes de la vie civile, signale-t-on.
La Côte d’Ivoire, depuis 2015, édicte des CIR, par le truchement de l’Office national d’identification (ONI). Un document administratif peu connu, mettant quelquefois ses détenteurs dans des situations inconfortables dans l’accomplissement des actes de la vie civile, notamment lors des opérations en banque.
Des agences de banques, à l’intérieur du pays, ne reconnaissent pas la carte, quoique tous les établissements aient été informés de son existence.
Le ministère des Affaires étrangères a conduit ainsi l’opération de vulgarisation, afin d’informer davantage les établissements bancaires et les administrations de l’existence de la CIR et également de les appeler à reconnaitre à cette carte toute l’autorité qui lui est conférée.
Le directeur de la communication de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI), Yéo Kibégnary, s’est félicité de l’initiative et a salué l’existence de la carte du réfugié qui, selon lui, offre la possibilité à chacun des acteurs de tenir aisément son rôle.
Il a souhaité qu’en plus des affiches physiques, un format électronique soit mis à la disposition des banques pour qu’elles puissent ventiler l’information dans toutes leurs agences.
kg/kp
Une équipe du service a sillonné, à cet effet, différents établissements financiers ainsi que des administrations pour faire connaître cette carte, afin de l’intégrer dans les instruments de protection des personnes ayant le statut dans un Etat donné.
Les conventions en la matière obligent les Etats à délivrer à aux réfugiés un document d’identification leur permettant de circuler librement et d’accomplir les actes de la vie civile, signale-t-on.
La Côte d’Ivoire, depuis 2015, édicte des CIR, par le truchement de l’Office national d’identification (ONI). Un document administratif peu connu, mettant quelquefois ses détenteurs dans des situations inconfortables dans l’accomplissement des actes de la vie civile, notamment lors des opérations en banque.
Des agences de banques, à l’intérieur du pays, ne reconnaissent pas la carte, quoique tous les établissements aient été informés de son existence.
Le ministère des Affaires étrangères a conduit ainsi l’opération de vulgarisation, afin d’informer davantage les établissements bancaires et les administrations de l’existence de la CIR et également de les appeler à reconnaitre à cette carte toute l’autorité qui lui est conférée.
Le directeur de la communication de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI), Yéo Kibégnary, s’est félicité de l’initiative et a salué l’existence de la carte du réfugié qui, selon lui, offre la possibilité à chacun des acteurs de tenir aisément son rôle.
Il a souhaité qu’en plus des affiches physiques, un format électronique soit mis à la disposition des banques pour qu’elles puissent ventiler l’information dans toutes leurs agences.
kg/kp