Le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE) a organisé du jeudi 21 au vendredi 22 décembre, au Grand Hôtel d’Abidjan, un atelier de validation de l’étude d’appui à la formulation de la politique de migration prenant en compte la dimension genre. Il s’agit spécifiquement d’élaborer un document de politique migratoire tenant compte de la dimension genre, de le faire approuver par adoption par les acteurs nationaux et de permettre son appropriation par le Gouvernement et les institutions nationales.
En effet, cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’activités inspiré par l’approche commune de la CEDEAO sur la migration et le développement, qui a permis à la Côte d’Ivoire d’obtenir un financement à travers le Fonds CEDEAO/Espagne de deux projets pilotes. Ce sont notamment, le projet de mise en place d’un Centre d’accueil, d’information, d’orientation et d’accompagnement de migrants et le projet d’Etude à la formulation d’une politique de la migration prenant en compte la dimension genre.
Le deuxième projet, objet de cette réflexion qui a réuni plusieurs ministères du gouvernement ivoirien, des organisations de la société civile et des représentants de l’Ambassade d’Espagne, de l’OIM et du bureau national de la CEDEAO, s’apparente à une étude sur la migration et le genre.
A l’ouverture de ces travaux, le Directeur de cabinet du MIAIE, M. Stephane Aka Anghui, a expliqué que la motivation de cet atelier réside dans le fait que la question négative de la migration ait commencé à toucher beaucoup plus de femmes.
Ce pourquoi, son département ministériel a estimé que dans la politique migratoire que la Côte d’Ivoire a, ce serait bien que la dimension genre ne soit pas occultée pour que les problèmes que rencontrent les migrants hommes ou femmes soient nettement spécifiés et que des solutions soient bien adaptées à chacun des deux sexes.
« Disons même de manière générale que la politique migratoire de la Côte d’Ivoire n’a jamais été formalisée. Avec un document de politique formelle, on peut mettre tous les ministères qui sont en rapport avec la question de la migration autour de la même table et mettre un accent sur le genre », a indiqué le Directeur de cabinet, M. Stephane Aka Anghui.
Selon lui, cette réflexion pourra être étendue à des thématiques telles que l’environnement parfois source de migration et à toute autre cause de ce phénomène, en termes de données pour constituer un document enrichi relatif à politique de migration en Côte d’Ivoire.
Notons qu’en Côte d’Ivoire, c’est depuis 1990 que les femmes ont commencé à entreprendre des projets de migrations.
En effet, cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’activités inspiré par l’approche commune de la CEDEAO sur la migration et le développement, qui a permis à la Côte d’Ivoire d’obtenir un financement à travers le Fonds CEDEAO/Espagne de deux projets pilotes. Ce sont notamment, le projet de mise en place d’un Centre d’accueil, d’information, d’orientation et d’accompagnement de migrants et le projet d’Etude à la formulation d’une politique de la migration prenant en compte la dimension genre.
Le deuxième projet, objet de cette réflexion qui a réuni plusieurs ministères du gouvernement ivoirien, des organisations de la société civile et des représentants de l’Ambassade d’Espagne, de l’OIM et du bureau national de la CEDEAO, s’apparente à une étude sur la migration et le genre.
A l’ouverture de ces travaux, le Directeur de cabinet du MIAIE, M. Stephane Aka Anghui, a expliqué que la motivation de cet atelier réside dans le fait que la question négative de la migration ait commencé à toucher beaucoup plus de femmes.
Ce pourquoi, son département ministériel a estimé que dans la politique migratoire que la Côte d’Ivoire a, ce serait bien que la dimension genre ne soit pas occultée pour que les problèmes que rencontrent les migrants hommes ou femmes soient nettement spécifiés et que des solutions soient bien adaptées à chacun des deux sexes.
« Disons même de manière générale que la politique migratoire de la Côte d’Ivoire n’a jamais été formalisée. Avec un document de politique formelle, on peut mettre tous les ministères qui sont en rapport avec la question de la migration autour de la même table et mettre un accent sur le genre », a indiqué le Directeur de cabinet, M. Stephane Aka Anghui.
Selon lui, cette réflexion pourra être étendue à des thématiques telles que l’environnement parfois source de migration et à toute autre cause de ce phénomène, en termes de données pour constituer un document enrichi relatif à politique de migration en Côte d’Ivoire.
Notons qu’en Côte d’Ivoire, c’est depuis 1990 que les femmes ont commencé à entreprendre des projets de migrations.
