Abidjan - Le président de la République, Alassane Ouattara, a reçu en audience, samedi, le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Sidiki Kaba, qui a exprimé la volonté de son pays de renforcer ses liens de coopération avec la Côte d’Ivoire et regarder dans la même direction dans le traitement des grandes préoccupations mondiales de l’heure.
Le chef de la diplomatie sénégalaise a souligné le fait notamment que les deux Etats se remplacent mutuellement au sein de deux organisations internationales et qu’il importait pour chacun d’œuvrer dans la continuité.
La Côte d’ivoire intègre à partir du 02 janvier 2018 le conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non permanent. Le Sénégal à partir la même date n’y siègera plus. Le pays intègre pour sa part le conseil des droits de l’homme au moment où la Côte d’Ivoire en sort.
« Nous pensons qu’il y a une continuité. Nous allons travailler ensemble pour que les grandes questions de l’heure qui constituent des enjeux et des défis pour le monde actuel, notamment le terrorisme et la criminalité transnationale », a exprimé M. Kaba à sa sortie d’audience.
Il relevé le fait qu’Abidjan et Dakar regardaient dans la même direction dans le traitement de la question d’un siège permanent pour l’Afrique au conseil de sécurité de l’ONU.
« Les deux chefs d’Etat ont vu qu’il fallait réparer une injustice qui est faite à l’Afrique qui n’a pas de membre permanent au niveau du conseil de sécurité. Dans la gouvernance mondiale, c’est une anomalie de continuer de traiter la question de l’Afrique sans l’Afrique. Je pense qu’un travail sera fait aussi pour aller vers l’adoption de cette mesure qui va réparer cette injustice historique », a-t-il fait savoir.
kg/kp
Le chef de la diplomatie sénégalaise a souligné le fait notamment que les deux Etats se remplacent mutuellement au sein de deux organisations internationales et qu’il importait pour chacun d’œuvrer dans la continuité.
La Côte d’ivoire intègre à partir du 02 janvier 2018 le conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non permanent. Le Sénégal à partir la même date n’y siègera plus. Le pays intègre pour sa part le conseil des droits de l’homme au moment où la Côte d’Ivoire en sort.
« Nous pensons qu’il y a une continuité. Nous allons travailler ensemble pour que les grandes questions de l’heure qui constituent des enjeux et des défis pour le monde actuel, notamment le terrorisme et la criminalité transnationale », a exprimé M. Kaba à sa sortie d’audience.
Il relevé le fait qu’Abidjan et Dakar regardaient dans la même direction dans le traitement de la question d’un siège permanent pour l’Afrique au conseil de sécurité de l’ONU.
« Les deux chefs d’Etat ont vu qu’il fallait réparer une injustice qui est faite à l’Afrique qui n’a pas de membre permanent au niveau du conseil de sécurité. Dans la gouvernance mondiale, c’est une anomalie de continuer de traiter la question de l’Afrique sans l’Afrique. Je pense qu’un travail sera fait aussi pour aller vers l’adoption de cette mesure qui va réparer cette injustice historique », a-t-il fait savoir.
kg/kp