Abidjan - La célébration du réveillon de la Saint Sylvestre s’est déroulée dans l’allégresse à Yopougon, avec une force présence des forces de sécurité.
"Yopougon la joie" a passé la nuit du 31 décembre au 1er janvier dans l’allégresse, tant les prix des bières étaient abordables, les maquis et des bars affichaient grand monde. De Yopougon Rue princesse en passant par les quartiers Maroc et Niangon, l'ambiance était identique.
"On vient ici pour s’ambiancer. C’est la nuit du 31 décembre et c’est la finale", s’est confié à l’AIP, l’air joyeux, Franck Allou, abordé au « Petit poteau ». Ce jeune, d’une trentaine d’années, tenait une bouteille de liqueur en main, le pantalon presque descendu et portant une grosse paire de lunettes, se trémoussait au son d’un morceau de DJ Arafat au milieu de ses camarades autour d’une table garnie de bouteilles de bière.
A la rue princesse, cette célèbre rue était grouillante de monde et les maquis étaient pris d’assaut par les populations revenant de la vigile. Ils ont bu assez de bouteilles de bière.
Dehors dans le cadre des patrouilles pédestres et motorisées, des policiers et des gendarmes faisaient des va-et-vient incessants pour dissuader les éventuels fauteurs de troubles, a-t-on constaté.
Les gérants de bars et les tenanciers de maquis se félicitaient de la rentabilité de leur affaire, cette nuit, vu que le stock de boissons prévu pour la circonstance a commencé à s’épuiser.
Tg/kp
"Yopougon la joie" a passé la nuit du 31 décembre au 1er janvier dans l’allégresse, tant les prix des bières étaient abordables, les maquis et des bars affichaient grand monde. De Yopougon Rue princesse en passant par les quartiers Maroc et Niangon, l'ambiance était identique.
"On vient ici pour s’ambiancer. C’est la nuit du 31 décembre et c’est la finale", s’est confié à l’AIP, l’air joyeux, Franck Allou, abordé au « Petit poteau ». Ce jeune, d’une trentaine d’années, tenait une bouteille de liqueur en main, le pantalon presque descendu et portant une grosse paire de lunettes, se trémoussait au son d’un morceau de DJ Arafat au milieu de ses camarades autour d’une table garnie de bouteilles de bière.
A la rue princesse, cette célèbre rue était grouillante de monde et les maquis étaient pris d’assaut par les populations revenant de la vigile. Ils ont bu assez de bouteilles de bière.
Dehors dans le cadre des patrouilles pédestres et motorisées, des policiers et des gendarmes faisaient des va-et-vient incessants pour dissuader les éventuels fauteurs de troubles, a-t-on constaté.
Les gérants de bars et les tenanciers de maquis se félicitaient de la rentabilité de leur affaire, cette nuit, vu que le stock de boissons prévu pour la circonstance a commencé à s’épuiser.
Tg/kp