Abidjan - Les religieux et les Chefs et Rois traditionnels ont exprimé, lors de la cérémonie de présentation des vœux au chef de l’Etat, Alassane Ouattara, jeudi, au Palais présidentiel d’Abidjan-Plateau, leur volonté de voir la Côte d’Ivoire, consolider son unité nationale.
Intervenant au nom du Forum national des confessions religieuses, l’évêque d’Abengourou, Boniface Ziri a invité les ivoiriens à la tolérance et à bâtir une fraternité universelle.
"Le temps et venu de franchir les concepts ethniques, régionales et politiques ou religieux, qui nous divisent et nous tiennent prisonniers", a-t-il déclaré, exhortant les ivoiriens "à se parler dans l’amour et la vérité, en jetant les bases d’une réconciliation et d’un vivre ensemble sincère", a-t-il dit.
Pour Dosso Lemissa, qui est intervenu, au nom du directoire des chefs et rois traditionnels, cette entreprise de réconciliation doit mettre en avant la question de la repentance.
« Il nous faut avoir à l’esprit qu’une des principales difficultés rencontrées sur le chemin réside dans le fait que s’il y a eu de nombreuses actions tendant à accorder le pardon, il n’y a pas eu beaucoup d’efforts de repentance », a-t-il déploré.
Pour le président du Conseil supérieur des imams (COSIM), Cheick Boikary Fofana, outre l’unité nationale et sociale, le gouvernement doit lutter pour une meilleure distribution des fruits de la croissance.
" Du Nord au Sud, nous sommes un même peuple. Ils nous faut vivre et agir dans ce sens et conduire le pays dans l’amour et la transparence", a soutenu, le président de l’Eglise méthodiste unie, Bishop Benjamin Boni, interrogé par l’AIP.
(AIP)
nmfa/fmo
Intervenant au nom du Forum national des confessions religieuses, l’évêque d’Abengourou, Boniface Ziri a invité les ivoiriens à la tolérance et à bâtir une fraternité universelle.
"Le temps et venu de franchir les concepts ethniques, régionales et politiques ou religieux, qui nous divisent et nous tiennent prisonniers", a-t-il déclaré, exhortant les ivoiriens "à se parler dans l’amour et la vérité, en jetant les bases d’une réconciliation et d’un vivre ensemble sincère", a-t-il dit.
Pour Dosso Lemissa, qui est intervenu, au nom du directoire des chefs et rois traditionnels, cette entreprise de réconciliation doit mettre en avant la question de la repentance.
« Il nous faut avoir à l’esprit qu’une des principales difficultés rencontrées sur le chemin réside dans le fait que s’il y a eu de nombreuses actions tendant à accorder le pardon, il n’y a pas eu beaucoup d’efforts de repentance », a-t-il déploré.
Pour le président du Conseil supérieur des imams (COSIM), Cheick Boikary Fofana, outre l’unité nationale et sociale, le gouvernement doit lutter pour une meilleure distribution des fruits de la croissance.
" Du Nord au Sud, nous sommes un même peuple. Ils nous faut vivre et agir dans ce sens et conduire le pays dans l’amour et la transparence", a soutenu, le président de l’Eglise méthodiste unie, Bishop Benjamin Boni, interrogé par l’AIP.
(AIP)
nmfa/fmo