Abidjan, Les sénateurs gabonais, réunis jeudi en séance plénière à Libreville, ont adopté le projet de révision constitutionnelle déposée par le gouvernement et déjà adoptée par les députés.
Ils ont supprimé des dispositions controversées ans le texte dont celle devant obliger certains hauts cadres du pays nommés aux fonctions de ministres, commandants en chef et autres, de prêter serment devant le Président de la République avant leur entrée en fonction.
Le texte a été adopté en des termes non identiques à ceux de l’Assemblée nationale qui l’avait déjà voté le 12 décembre. Les sénateurs ont apporté quelques amendements tant sur la forme que dans le fond. Par exemple, l’harmonisation du mandat des élus locaux à celui des sénateurs (six ans) renouvelable et non l’inverse. Dans le projet de révision constitutionnelle adopté par l’Assemblée nationale, le mandat des sénateurs tout comme celui des élus locaux est réduit à quatre ans.
L’adoption finale de ce texte par les sénateurs et les députés en congrès est prévue pour le 15 janvier.
(AIP)
sdaf/akn/cmas
Ils ont supprimé des dispositions controversées ans le texte dont celle devant obliger certains hauts cadres du pays nommés aux fonctions de ministres, commandants en chef et autres, de prêter serment devant le Président de la République avant leur entrée en fonction.
Le texte a été adopté en des termes non identiques à ceux de l’Assemblée nationale qui l’avait déjà voté le 12 décembre. Les sénateurs ont apporté quelques amendements tant sur la forme que dans le fond. Par exemple, l’harmonisation du mandat des élus locaux à celui des sénateurs (six ans) renouvelable et non l’inverse. Dans le projet de révision constitutionnelle adopté par l’Assemblée nationale, le mandat des sénateurs tout comme celui des élus locaux est réduit à quatre ans.
L’adoption finale de ce texte par les sénateurs et les députés en congrès est prévue pour le 15 janvier.
(AIP)
sdaf/akn/cmas