Le Comité exécutif de la Fédération ivoirienne de Football (FIF) a révoqué vendredi, son Vice-Président Malick Tohé.
Dans un communiqué, «le Comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football informe la grande famille du football, qu’en sa réunion du vendredi 12 janvier 2018 à 17 heures, la décision de révocation provisoire de Monsieur Tohé Malick , Vice-président et membre du Comité exécutif , a été prise à l’unanimité des membres présents ».
« Cette disposition est prévue par les dispositions de l’article 47 des statuts de la FIF », ajoute le texte. Sur les raisons de cette décision, le communiqué mentionne que « l’intéressé a été formellement informé deux fois de son droit d’être entendu sur les faits qui lui sont reprochés. Il n’a pas daigné se présenter pour se faire entendre ».
Pour la fédération ivoirienne de football, cette attitude constitue un défaut qui est « à considérer comme un aveu de culpabilité de sa part ».
Une crise secoue depuis quelques semaines le monde du football ivoirien. Des clubs et groupements d’intérêts réunis au sein du G42 (38 clubs et 4 groupements) ont demandé une Assemblée générale extraordinaire jugée « irrecevable par le Comité exécutif la FIF » dirigé par Augustin Sidy Diallo.
La FIF s’était également séparée de son juriste Pierre Gondo en décembre dernier. M. Veron Mosengo-Omba, émissaire de la FIFA a rencontré jeudi et vendredi, les différentes parties lors de son séjour à Abidjan. Il dit avoir pris note et rendra compte au président de l’instance mondiale du football.
SY/ls/APA
Dans un communiqué, «le Comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football informe la grande famille du football, qu’en sa réunion du vendredi 12 janvier 2018 à 17 heures, la décision de révocation provisoire de Monsieur Tohé Malick , Vice-président et membre du Comité exécutif , a été prise à l’unanimité des membres présents ».
« Cette disposition est prévue par les dispositions de l’article 47 des statuts de la FIF », ajoute le texte. Sur les raisons de cette décision, le communiqué mentionne que « l’intéressé a été formellement informé deux fois de son droit d’être entendu sur les faits qui lui sont reprochés. Il n’a pas daigné se présenter pour se faire entendre ».
Pour la fédération ivoirienne de football, cette attitude constitue un défaut qui est « à considérer comme un aveu de culpabilité de sa part ».
Une crise secoue depuis quelques semaines le monde du football ivoirien. Des clubs et groupements d’intérêts réunis au sein du G42 (38 clubs et 4 groupements) ont demandé une Assemblée générale extraordinaire jugée « irrecevable par le Comité exécutif la FIF » dirigé par Augustin Sidy Diallo.
La FIF s’était également séparée de son juriste Pierre Gondo en décembre dernier. M. Veron Mosengo-Omba, émissaire de la FIFA a rencontré jeudi et vendredi, les différentes parties lors de son séjour à Abidjan. Il dit avoir pris note et rendra compte au président de l’instance mondiale du football.
SY/ls/APA