Séminaire de formation: Le mouvement des peuples pour l`éducation aux droits humains en conclave
L’ONG Mouvement des Peuples pour l’Education aux Droits Humains en Côte d’Ivoire (PDHRE-CI) grâce à l’appui financier du NED, National Endowment for Democracy a réuni cinquante(50) représentants de différents villages de la sous-préfecture d’Ayamé dans le cadre d’un séminaire ce mercredi 17 janvier. Placé sous l’autorité de madame le sous-préfet d’Ayamé, Samassi Ly Madina et du deuxième Adjoint au Maire d’Ayamé, N’Douba Léon. Ce séminaire de formation avait pour thème : « La chefferie coutumière dans la résolution des conflits fonciers dans la sous préfecture d'Ayamé".
Pour faire de ce séminaire une plateforme d’échanges de bonnes pratiques, les participants ont été scindés en deux groupes. Le premier composé essentiellement de membres des CVGFR des cinq villages (Biaka, Koukourandoumi, Gnamienkro, Amoakro et Akressi) et d’Ayamé ont participé au séminaire, sur le rôle de la chefferie coutumière dans la résolution des conflits fonciers, animé par le sous-directeur du foncier rural Seynou Drissa. Le second groupe composé de 20 personnes représentants essentiellement les chefferies de la Sous-préfecture ont échangé avec Dr. Diarrassouba Ibrahim de l’ONG Club Union Africaine.
Au cours de ces deux rencontres, les procédures d’obtention des certificats fonciers, du titre foncier et l’animation des mécanismes à savoir les CVGFR et CGFR ont été passées en revue. Les participants ont soulevé plusieurs préoccupations et ont fait des doléances au nombre desquelles on peut citer l’extension du PARFACI à Ayamé, la réduction des coûts liés à la procédure, le renforcement de l’appui de l’Etat à la chefferie traditionnelle.
Grâce à l’appui financier du NED, le partage d’expériences a connu un effet immédiat car à la fin de ces deux séances, l’expérience d’Amaokro a été jugée éclairante et des populations ont acheté séance tenante des liasses. Les difficultés de collaboration de la chefferie avec les autres acteurs du foncier ont été clairement identifiées.
DA
L’ONG Mouvement des Peuples pour l’Education aux Droits Humains en Côte d’Ivoire (PDHRE-CI) grâce à l’appui financier du NED, National Endowment for Democracy a réuni cinquante(50) représentants de différents villages de la sous-préfecture d’Ayamé dans le cadre d’un séminaire ce mercredi 17 janvier. Placé sous l’autorité de madame le sous-préfet d’Ayamé, Samassi Ly Madina et du deuxième Adjoint au Maire d’Ayamé, N’Douba Léon. Ce séminaire de formation avait pour thème : « La chefferie coutumière dans la résolution des conflits fonciers dans la sous préfecture d'Ayamé".
Pour faire de ce séminaire une plateforme d’échanges de bonnes pratiques, les participants ont été scindés en deux groupes. Le premier composé essentiellement de membres des CVGFR des cinq villages (Biaka, Koukourandoumi, Gnamienkro, Amoakro et Akressi) et d’Ayamé ont participé au séminaire, sur le rôle de la chefferie coutumière dans la résolution des conflits fonciers, animé par le sous-directeur du foncier rural Seynou Drissa. Le second groupe composé de 20 personnes représentants essentiellement les chefferies de la Sous-préfecture ont échangé avec Dr. Diarrassouba Ibrahim de l’ONG Club Union Africaine.
Au cours de ces deux rencontres, les procédures d’obtention des certificats fonciers, du titre foncier et l’animation des mécanismes à savoir les CVGFR et CGFR ont été passées en revue. Les participants ont soulevé plusieurs préoccupations et ont fait des doléances au nombre desquelles on peut citer l’extension du PARFACI à Ayamé, la réduction des coûts liés à la procédure, le renforcement de l’appui de l’Etat à la chefferie traditionnelle.
Grâce à l’appui financier du NED, le partage d’expériences a connu un effet immédiat car à la fin de ces deux séances, l’expérience d’Amaokro a été jugée éclairante et des populations ont acheté séance tenante des liasses. Les difficultés de collaboration de la chefferie avec les autres acteurs du foncier ont été clairement identifiées.
DA