Femme moderne et engagée, épouse comblée, Sylvia Bongo Ondimba vit son rôle de première dame à plein temps et milite à travers sa Fondation pour de nombreuses causes sociales au Gabon. Appréciée par beaucoup, critiquée pour son goût exagéré du luxe par d’autres, elle fait l’unanimité sur ses nombreuses activités de bienfaisance.
« La First Lady Gabonaise est une femme de caractère et de grand cœur. Son action pour la lutte contre le cancer chez les femmes mais aussi en faveur des personnes handicapées montre sa grandeur d’âme et son attachement au bien-être du peuple gabonais… ». Propos signé d’un Gabonais lambda, Bérenger Thierry Amani, vivant dans le quartier populaire d’Okala et contacté par nos soins. De son vrai nom de famille Valentin, Sylvia Bongo Ondimba est apparue au grand jour le 16 octobre 2009, lors de l’investiture de son époux, comme président de la République. Née à Paris le 11 mars 1963, celle qui porte également le prénom musulman de Nedjman est la fille de l’assureur français Edouard Valentin et d’Aimée Baudier. A deux mois, elle a découvert l’Afrique après la mutation de ses parents à Douala (Cameroun). Et, suite à un bref séjour en Tunisie, c’est à Libreville que la famille Valentin s’est définitivement posée en 1974. A 25 ans, Sylvia crée sa première société Alliance SA, spécialisée dans l’immobilier et la gestion de patrimoine. Passionnée par tout ce qui concerne l’Education et le social, cette tête bien faite dans un corps presque parfait, s’échine à offrir un bien-être à ses compatriotes via sa Fondation créée en 2011. En 1988, elle pose pour la première fois les yeux sur Ali Ben Bongo. Ils se comprennent, s’apprécient, se complètent et surtout s’aiment. L’année suivante, le mariage est célébré en grandes pompes. De leur amour, sont déjà nés quatre adorables enfants (Malika, Nourredine, Edouard, Jalil Louis) dont un orphelin noir (Bilal) adopté au Maroc en 2003.
Une Première dame dépensière ?
Les nombreux détracteurs de Madame Bongo jurent qu’elle a un goût immodéré pour le luxe. Tenez, l’émission Complément d’enquête sur France 2 démontrait encore il y a quelques mois comment elle a dépensé sur une année, un million d’euros pour sa garde-robe, Place Vendôme à Paris. 132.000 euros consacrés à des bijoux chez le joaillier Van Cleef ou encore 144.000 euros chez Hermès. Qui dit mieux ? Et avec les salaires bas, la déliquescence des hôpitaux ou encore la pauvreté rampante des populations, cela passe (très) mal. A travers une interview publiée, il y a quelques mois dans la publication en ligne, Le Gabon Emergent, celle qui est souvent rebaptisée SBO se dévoile être plus qu’une militante engagée dans l’amélioration de la condition de la femme africaine mais gabonaise en particulier. « Je veux être la voix des sans voix, commence-t-elle par confier. Avant de poursuivre, « Mon leitmotiv est « agir pour faire agir ». J’apporte ma pierre à l’édifice pour un Gabon juste ». Grâce à ses activités de leadership et son engagement, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Journée mondiale des veuves chaque 23 juin. Mère aimante et pieuse, Sylvia Bongo Ondimba conserve encore aujourd’hui un attachement viscéral à la terre gabonaise, malgré ses origines françaises. La Bourse d’études baptisée Ozavino qu’elle a lancé permet aux étudiants gabonais d’être accompagnés financièrement durant leurs études supérieures. « Je suis fière d’accompagner mon époux depuis 2009, lit-on toujours sur sa page Facebook. Je sais à quel point sa fonction est difficile. Il faut de la volonté, du courage, de la détermination ». Cultivant l’image d’un homme viril et d’un époux fort, Ali Bongo peut être fier et compter sur sa moitié pour réussir à chasser la pauvreté au Gabon.
Guy-Florentin Yameogo
« La First Lady Gabonaise est une femme de caractère et de grand cœur. Son action pour la lutte contre le cancer chez les femmes mais aussi en faveur des personnes handicapées montre sa grandeur d’âme et son attachement au bien-être du peuple gabonais… ». Propos signé d’un Gabonais lambda, Bérenger Thierry Amani, vivant dans le quartier populaire d’Okala et contacté par nos soins. De son vrai nom de famille Valentin, Sylvia Bongo Ondimba est apparue au grand jour le 16 octobre 2009, lors de l’investiture de son époux, comme président de la République. Née à Paris le 11 mars 1963, celle qui porte également le prénom musulman de Nedjman est la fille de l’assureur français Edouard Valentin et d’Aimée Baudier. A deux mois, elle a découvert l’Afrique après la mutation de ses parents à Douala (Cameroun). Et, suite à un bref séjour en Tunisie, c’est à Libreville que la famille Valentin s’est définitivement posée en 1974. A 25 ans, Sylvia crée sa première société Alliance SA, spécialisée dans l’immobilier et la gestion de patrimoine. Passionnée par tout ce qui concerne l’Education et le social, cette tête bien faite dans un corps presque parfait, s’échine à offrir un bien-être à ses compatriotes via sa Fondation créée en 2011. En 1988, elle pose pour la première fois les yeux sur Ali Ben Bongo. Ils se comprennent, s’apprécient, se complètent et surtout s’aiment. L’année suivante, le mariage est célébré en grandes pompes. De leur amour, sont déjà nés quatre adorables enfants (Malika, Nourredine, Edouard, Jalil Louis) dont un orphelin noir (Bilal) adopté au Maroc en 2003.
Une Première dame dépensière ?
Les nombreux détracteurs de Madame Bongo jurent qu’elle a un goût immodéré pour le luxe. Tenez, l’émission Complément d’enquête sur France 2 démontrait encore il y a quelques mois comment elle a dépensé sur une année, un million d’euros pour sa garde-robe, Place Vendôme à Paris. 132.000 euros consacrés à des bijoux chez le joaillier Van Cleef ou encore 144.000 euros chez Hermès. Qui dit mieux ? Et avec les salaires bas, la déliquescence des hôpitaux ou encore la pauvreté rampante des populations, cela passe (très) mal. A travers une interview publiée, il y a quelques mois dans la publication en ligne, Le Gabon Emergent, celle qui est souvent rebaptisée SBO se dévoile être plus qu’une militante engagée dans l’amélioration de la condition de la femme africaine mais gabonaise en particulier. « Je veux être la voix des sans voix, commence-t-elle par confier. Avant de poursuivre, « Mon leitmotiv est « agir pour faire agir ». J’apporte ma pierre à l’édifice pour un Gabon juste ». Grâce à ses activités de leadership et son engagement, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Journée mondiale des veuves chaque 23 juin. Mère aimante et pieuse, Sylvia Bongo Ondimba conserve encore aujourd’hui un attachement viscéral à la terre gabonaise, malgré ses origines françaises. La Bourse d’études baptisée Ozavino qu’elle a lancé permet aux étudiants gabonais d’être accompagnés financièrement durant leurs études supérieures. « Je suis fière d’accompagner mon époux depuis 2009, lit-on toujours sur sa page Facebook. Je sais à quel point sa fonction est difficile. Il faut de la volonté, du courage, de la détermination ». Cultivant l’image d’un homme viril et d’un époux fort, Ali Bongo peut être fier et compter sur sa moitié pour réussir à chasser la pauvreté au Gabon.
Guy-Florentin Yameogo