Seguelon - L’inspecteur de l'enseignement primaire (IEP) de Seguelon a déclaré, mardi, lors d'un entretien avec l'AIP, que sa circonscription a besoin de 60 classes et 1500 tables-bancs pour assurer un le recrutement régulier des enfants au CP1 et mettre fin aux effectifs pléthoriques.
"Le besoins de salles de classes se chiffrent à 60 classes pour 1500 tables-bancs. A ce jour, 28 écoles autorisées exercent et 25 sont effectivement fonctionnelles. Seulement 12 écoles primaires ont des latrines et aucune école de Seguelon n’a un point d’eau en son sein", a dénoncé l’inspecteur.
Plusieurs enseignants à Siensokoroni et à Sangbani ont expliqué les recrutements triennaux des enfants en âge d’aller à l’école. La conséquence est que ceux qui sont en âge d’aller à l’école sont souvent obligés d’attendre le prochain recrutement.
La sensibilisation pour la scolarisation des enfants dans le cadre du programme gouvernemental de l’école obligatoire semble porter ses fruits. Mais malheureusement les infrastructures ne suivent pas.
Érigé en circonscription, Seguelon a reçu un inspecteur depuis fin 2016. Mais celui-ci doit encore attendre les fournitures de bureau et les équipements nécessaires pour travailler dans les conditions. En attendant, il occupe le bureau d'un des directeurs du groupe scolaire de Seguelon, note-t-on.
ss/fmo
"Le besoins de salles de classes se chiffrent à 60 classes pour 1500 tables-bancs. A ce jour, 28 écoles autorisées exercent et 25 sont effectivement fonctionnelles. Seulement 12 écoles primaires ont des latrines et aucune école de Seguelon n’a un point d’eau en son sein", a dénoncé l’inspecteur.
Plusieurs enseignants à Siensokoroni et à Sangbani ont expliqué les recrutements triennaux des enfants en âge d’aller à l’école. La conséquence est que ceux qui sont en âge d’aller à l’école sont souvent obligés d’attendre le prochain recrutement.
La sensibilisation pour la scolarisation des enfants dans le cadre du programme gouvernemental de l’école obligatoire semble porter ses fruits. Mais malheureusement les infrastructures ne suivent pas.
Érigé en circonscription, Seguelon a reçu un inspecteur depuis fin 2016. Mais celui-ci doit encore attendre les fournitures de bureau et les équipements nécessaires pour travailler dans les conditions. En attendant, il occupe le bureau d'un des directeurs du groupe scolaire de Seguelon, note-t-on.
ss/fmo