Vavoua, 04 fév (AIP)- Présentant leurs vœux du nouvel an au préfet, les membres de la société civile et des opérateurs économiques exerçant à Vavoua ont dénoncé, dans la cour de la sous-préfecture, les actions néfastes du grand banditisme dans le département.
Qu’il s’agisse du corps préfectoral, des directeurs et chefs de services, de la société civile et des opérateurs économiques, tous ont crié leur inquiétude face à l’insécurité à Vavoua. Selon eux, il ne se passe de nuit et de jour sans que des familles ne soient agressées jusqu’à perdre même la vie.
"Nous sommes agressés à tout instant dans nos magasins, sur les routes, dans nos villages et les hameaux par des individus sans foi ni loi", a déclaré M. Konaté Sorahimana, président des coopératives de Vavoua, les pertes énormes enregistrées à l’issue de chaque agression.
Répondant à ces inquiétudes des populations, le préfet Légré Koukougnon a indiqué que la question de sécurité est une question sensible et essentielle, demandant à ses administrés de ne pas désespérer.
Il a engagé toutes les forces de sécurité à ramener, dans les normes acceptables, l’insécurité et invité les populations à collaborer avec celles-ci dans les échanges d’information.
Il faut dénoncer ceux qui détiennent encore illégalement des armes chez eux et qui sèment la terreur dans le département de Vavoua, a recommandé l’autorité préfectorale pour terminer.
Plusieurs fonctionnaires de l’éducation nationale et de la santé, rassemblés à la préfecture récemment, ont menacé d’arrêter le travail suite aux agressions armées dont sont victimes régulièrement plusieurs d’entre eux, rappelle-t-on.
(AIP)
Sk/kp
Qu’il s’agisse du corps préfectoral, des directeurs et chefs de services, de la société civile et des opérateurs économiques, tous ont crié leur inquiétude face à l’insécurité à Vavoua. Selon eux, il ne se passe de nuit et de jour sans que des familles ne soient agressées jusqu’à perdre même la vie.
"Nous sommes agressés à tout instant dans nos magasins, sur les routes, dans nos villages et les hameaux par des individus sans foi ni loi", a déclaré M. Konaté Sorahimana, président des coopératives de Vavoua, les pertes énormes enregistrées à l’issue de chaque agression.
Répondant à ces inquiétudes des populations, le préfet Légré Koukougnon a indiqué que la question de sécurité est une question sensible et essentielle, demandant à ses administrés de ne pas désespérer.
Il a engagé toutes les forces de sécurité à ramener, dans les normes acceptables, l’insécurité et invité les populations à collaborer avec celles-ci dans les échanges d’information.
Il faut dénoncer ceux qui détiennent encore illégalement des armes chez eux et qui sèment la terreur dans le département de Vavoua, a recommandé l’autorité préfectorale pour terminer.
Plusieurs fonctionnaires de l’éducation nationale et de la santé, rassemblés à la préfecture récemment, ont menacé d’arrêter le travail suite aux agressions armées dont sont victimes régulièrement plusieurs d’entre eux, rappelle-t-on.
(AIP)
Sk/kp
