Abidjan - La World taekwondo (WT), dans un courrier signé du secrétaire général, Hoss Rafaty, et dont l’AIP a reçu copie mercredi, appelle le Comité national olympique Côte d’Ivoire, à s’expliquer "en urgence" sur sa supposée ingérence dans les affaires du taekwondo ivoirien.
« La WT note qu’en vertu de l’article 2 alinéa 3 des Statuts de la WT et l’article 16 alinéa 1, aussi bien que la Charte Olympique 26, la WT a le droit et le devoir d’aider à protéger l’autonomie de nos fédérations membres. Dans cet esprit, nous demandons en urgence une explication officielle du CNO-CI concernant les actions qui nous ont été rapportées », indique le document.
Selon M. Rafaty, C’est avec « surprise et inquiétude » que la WT a reçu un rapport de la Fédération ivoirienne de taekwondo (FITDK) l’informant de ce que le CNO-CI ne reconnaît toujours pas Daniel Cheick Bamba comme président de la FITKD, et aussi que récemment, le CNO-CI a pris possession des locaux du siège technique de la FITKD, refusé à la FITKD le droit de participation à son Assemblée générale élective, et cherche à imposer par tous les moyens un comité ad-hoc afin de prendre le contrôle de la FITKD.
Le secrétaire général de la WT souligne dans le courrier qu’en date du 17 septembre 2017, il a signifié au CNO-CI qu’il reconnaissait Bamba Cheick comme président de la FITKD parce que le CNO -CI n’avait pas fourni « de preuves ou de justifications suffisantes devant renforcer sa position » sur l’illégalité de l’assemblée générale qui a reconduit le président sortant.
Le taekwondo est secoué par une crise née de la réélection en 2017, de Bamba Cheick Daniel dont un groupe dissidents conteste la légitimité parce que l’accusant d’avoir tripatouillé les textes pour se maintenir à son poste.
fmo
« La WT note qu’en vertu de l’article 2 alinéa 3 des Statuts de la WT et l’article 16 alinéa 1, aussi bien que la Charte Olympique 26, la WT a le droit et le devoir d’aider à protéger l’autonomie de nos fédérations membres. Dans cet esprit, nous demandons en urgence une explication officielle du CNO-CI concernant les actions qui nous ont été rapportées », indique le document.
Selon M. Rafaty, C’est avec « surprise et inquiétude » que la WT a reçu un rapport de la Fédération ivoirienne de taekwondo (FITDK) l’informant de ce que le CNO-CI ne reconnaît toujours pas Daniel Cheick Bamba comme président de la FITKD, et aussi que récemment, le CNO-CI a pris possession des locaux du siège technique de la FITKD, refusé à la FITKD le droit de participation à son Assemblée générale élective, et cherche à imposer par tous les moyens un comité ad-hoc afin de prendre le contrôle de la FITKD.
Le secrétaire général de la WT souligne dans le courrier qu’en date du 17 septembre 2017, il a signifié au CNO-CI qu’il reconnaissait Bamba Cheick comme président de la FITKD parce que le CNO -CI n’avait pas fourni « de preuves ou de justifications suffisantes devant renforcer sa position » sur l’illégalité de l’assemblée générale qui a reconduit le président sortant.
Le taekwondo est secoué par une crise née de la réélection en 2017, de Bamba Cheick Daniel dont un groupe dissidents conteste la légitimité parce que l’accusant d’avoir tripatouillé les textes pour se maintenir à son poste.
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