Abidjan- Le PIB du Kenya devrait augmenter à 5,7 % au premier trimestre de 2018, d’après les estimations contenues dans le dernier rapport du ICAEW (the Institute of Chartered Accountants in England and Wales).
Ce rapport est intitulé Perspectives Économiques : Afrique 1er Trimestre 2018 (Economic Insight: Africa Q1 2018). L'organisme de comptabilité et de finance y fait état de l'apaisement des tensions politiques dans le pays comme le facteur le plus important pour contribuer à cette croissance, rapporte, mercredi, African Media Agency (AMA).
Le rapport, commandité par l'ICAEW et réalisé par son partenaire, le cabinet de prévisionnistes Oxford Economics, donne un aperçu de la performance économique du continent africain. Le document offre une analyse régionale se concentrant sur l'Afrique du Sud et le Zimbabwe.
La croissance du PIB kenyan devrait grimper à 5,7 %, une amélioration par rapport aux estimations de 4,6 % au dernier trimestre. En dépit de meilleures estimations, la croissance au Kenya est plus lente comparée à ses compétiteurs régionaux comme la Tanzanie, l'Éthiopie et l'Ouganda.
" L'incertitude politique qui a miné l'économie kenyane s'atténue et c'est de bon augure pour les perspectives économiques du pays. Toutefois, le Kenya a encore du chemin à parcourir avant d'atteindre le niveau de croissance que l'on retrouve dans d'autres pays d'Afrique de l'Est et d'Afrique australe ", fait ressortir Michael Armstrong, directeur régional de ICAEW pour le Moyen-Orient, l'Afrique et l'Asie du Sud.
Plus loin, la croissance en Afrique australe progresserait, selon les estimations, à 2,2 % en 2018, d'autant que les deux principaux moteurs de croissance de la région, l'Afrique du Sud et l'Angola, devrait connaître une meilleure croissance cette année, bien qu'en dessous du potentiel.
L'Afrique centrale et occidentale devrait connaître une croissance de 3,8 % cette année, contre 2,3 5 en 2017.
cmas
Ce rapport est intitulé Perspectives Économiques : Afrique 1er Trimestre 2018 (Economic Insight: Africa Q1 2018). L'organisme de comptabilité et de finance y fait état de l'apaisement des tensions politiques dans le pays comme le facteur le plus important pour contribuer à cette croissance, rapporte, mercredi, African Media Agency (AMA).
Le rapport, commandité par l'ICAEW et réalisé par son partenaire, le cabinet de prévisionnistes Oxford Economics, donne un aperçu de la performance économique du continent africain. Le document offre une analyse régionale se concentrant sur l'Afrique du Sud et le Zimbabwe.
La croissance du PIB kenyan devrait grimper à 5,7 %, une amélioration par rapport aux estimations de 4,6 % au dernier trimestre. En dépit de meilleures estimations, la croissance au Kenya est plus lente comparée à ses compétiteurs régionaux comme la Tanzanie, l'Éthiopie et l'Ouganda.
" L'incertitude politique qui a miné l'économie kenyane s'atténue et c'est de bon augure pour les perspectives économiques du pays. Toutefois, le Kenya a encore du chemin à parcourir avant d'atteindre le niveau de croissance que l'on retrouve dans d'autres pays d'Afrique de l'Est et d'Afrique australe ", fait ressortir Michael Armstrong, directeur régional de ICAEW pour le Moyen-Orient, l'Afrique et l'Asie du Sud.
Plus loin, la croissance en Afrique australe progresserait, selon les estimations, à 2,2 % en 2018, d'autant que les deux principaux moteurs de croissance de la région, l'Afrique du Sud et l'Angola, devrait connaître une meilleure croissance cette année, bien qu'en dessous du potentiel.
L'Afrique centrale et occidentale devrait connaître une croissance de 3,8 % cette année, contre 2,3 5 en 2017.
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