Tiébissou - Les examens blancs régionaux de la DRENETFP de Yamoussoukro à Tiébissou se déroulent normalement malgré quelques tentatives de perturbation.
Dans le souci d’éviter de perdre des heures de cours dues aux compositions des examens blancs régionaux et aux jours de cours perdu en décembre dû au départ précipité des élèves en congés de Noël et du nouvel an, la DRENETFP de Yamoussoukro a innové en demandant aux établissements de faire se dérouler concomitamment les épreuves écrites et les cours pour les classes intermédiaires (6è, 5è, 4è, 2nde et 1ère).
Depuis le lundi 26 février, les épreuves ont débuté et se poursuivront jusqu’au vendredi 1er mars dans tous les établissements secondaires de Tiébissou.
Toutefois, lundi et mardi, des élèves des classes intermédiaires ont tenté des actions pour perturber la quiétude des candidats. Ces élèves, pas en grand nombre, n’appréciant pas le fait d’aller aux cours en même temps que ceux qui composent ont essayé de faire sortir leurs camarades des classes intermédiaires. Ils se sont rendus au collège Enoc où ils en ont été dissuadés, selon l’un des fondateurs de cet établissement secondaire.
kbm/kkf/kam
Dans le souci d’éviter de perdre des heures de cours dues aux compositions des examens blancs régionaux et aux jours de cours perdu en décembre dû au départ précipité des élèves en congés de Noël et du nouvel an, la DRENETFP de Yamoussoukro a innové en demandant aux établissements de faire se dérouler concomitamment les épreuves écrites et les cours pour les classes intermédiaires (6è, 5è, 4è, 2nde et 1ère).
Depuis le lundi 26 février, les épreuves ont débuté et se poursuivront jusqu’au vendredi 1er mars dans tous les établissements secondaires de Tiébissou.
Toutefois, lundi et mardi, des élèves des classes intermédiaires ont tenté des actions pour perturber la quiétude des candidats. Ces élèves, pas en grand nombre, n’appréciant pas le fait d’aller aux cours en même temps que ceux qui composent ont essayé de faire sortir leurs camarades des classes intermédiaires. Ils se sont rendus au collège Enoc où ils en ont été dissuadés, selon l’un des fondateurs de cet établissement secondaire.
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