Les attaques qui ont visé vendredi l'ambassade de France à Ouagadougou et l'état-major général des armées burkinabè ont un "relent terroriste très fort", a déclaré le ministre de l'Information Rémis Fulgance Dandjinou à la télévision d'état RTB.
"Quatre assaillants ont été neutralisés" à l'ambassade de France où la "situation" était "maîtrisée", a indiqué le ministre.
A l'état-major, "il y a eu une attaque à l'explosif qui a détruit un pan" du bâtiment. L'explosion a causé "un certain nombre de blessés parmi les gendarmes et militaires en faction", a ajouté Rémis Fulgance Dandjinou.
"Deux assaillants ont été neutralisés" par la suite. "La sécurisation de l'état-major continue pour l'instant", a-t-il souligné.
Il n'y a "pas de victime civile à ce stade", a précisé le ministre.
Enfin il a indiqué que "des hommes sont intervenus dans le cadre de la sécurité française", en "collaboration" avec les forces de sécurité burkinabè, sans préciser s'il s'agissait des Français chargés de la sécurité de l'ambassade ou de soldats des forces spéciales françaises basées à l'aéroport
de Ouagadougou.
de/ck/thm
"Quatre assaillants ont été neutralisés" à l'ambassade de France où la "situation" était "maîtrisée", a indiqué le ministre.
A l'état-major, "il y a eu une attaque à l'explosif qui a détruit un pan" du bâtiment. L'explosion a causé "un certain nombre de blessés parmi les gendarmes et militaires en faction", a ajouté Rémis Fulgance Dandjinou.
"Deux assaillants ont été neutralisés" par la suite. "La sécurisation de l'état-major continue pour l'instant", a-t-il souligné.
Il n'y a "pas de victime civile à ce stade", a précisé le ministre.
Enfin il a indiqué que "des hommes sont intervenus dans le cadre de la sécurité française", en "collaboration" avec les forces de sécurité burkinabè, sans préciser s'il s'agissait des Français chargés de la sécurité de l'ambassade ou de soldats des forces spéciales françaises basées à l'aéroport
de Ouagadougou.
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