Les familles des sept femmes tuées en mars 2011 à Abobo (au nord d’Abidjan), en pleine crise post-électorale, ont réclamé dimanche “justice et réparation auprès de la Cour pénale internationale (CPI)’’, lors d’une cérémonie commémorant le 7ème anniversaire de la mort de ses partisanes de l’opposant d’alors, Alassane Ouattara, actuel chef de l’Etat.
“Nous avons pardonné (...) Mais nous réclamons justice. Oui, nous réclamons justice et réparation auprès de la Cour pénale internationale pour que les âmes de nos enfants reposent en paix’’, a déclaré Mamadou Bamba, président de l’Association des parents des femmes martyres d’Abobo (APAFEMA), lors de cette cérémonie à Abobo, en présence de la ministre de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la solidarité, Marietou Koné.
Après une lecture coranique pour le repos éternel des âmes de ces femmes, au domicile de Coulibaly Malon, père de l’une des sept victimes, la ministre Marietou Koné a, au nom du président de la République, remis une enveloppe de 5 millions de Franc CFA à l’APAFEMA.
En mars 2011, une manifestation de femmes avait été réprimée. Sept d’entre elles avaient trouvé la mort dans ce quartier favorable à M. Ouattara.
Cet événement est l’un des quatre incriminés dans le procès de la CPI contre l’ancien chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo.
SKO
“Nous avons pardonné (...) Mais nous réclamons justice. Oui, nous réclamons justice et réparation auprès de la Cour pénale internationale pour que les âmes de nos enfants reposent en paix’’, a déclaré Mamadou Bamba, président de l’Association des parents des femmes martyres d’Abobo (APAFEMA), lors de cette cérémonie à Abobo, en présence de la ministre de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la solidarité, Marietou Koné.
Après une lecture coranique pour le repos éternel des âmes de ces femmes, au domicile de Coulibaly Malon, père de l’une des sept victimes, la ministre Marietou Koné a, au nom du président de la République, remis une enveloppe de 5 millions de Franc CFA à l’APAFEMA.
En mars 2011, une manifestation de femmes avait été réprimée. Sept d’entre elles avaient trouvé la mort dans ce quartier favorable à M. Ouattara.
Cet événement est l’un des quatre incriminés dans le procès de la CPI contre l’ancien chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo.
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