Le principal commanditaire de l’«attaque terroriste » survenue en mars 2016 sur les plages de Grand-Bassam, à 40 Km au Sud-Est d’Abidjan, a été arrêté au Mali et est «aujourd’hui en prison», a dit mardi à la presse le ministre d’Etat, ministre de la Défense de Côte d’Ivoire Hamed Bakayoko, à l’issue de l’inauguration d’une stèle en la mémoire des victimes, marquant l’an deux de cette attaque.
«Le moment n’est pas approprié pour faire le point de l’enquête. Je peux dire globalement (qu’elle) a abouti à l’arrestation du principal commanditaire qui est aujourd’hui en prison au Mali», a indiqué M. Hamed Bakayoko, sans autres précisions.
En souvenir à cet « événement tragique grave » qui a marqué la conscience des Ivoiriens et mobilisé la communauté internationale, le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara a instruit le gouvernement aux fins d’ériger une stèle « en mémoire des victimes de l’attaque terroriste du 13 mars 2016 sur les plages de Grand-Bassam », a fait savoir M. Bakayoko.
« Nous sommes au deuxième anniversaire du premier attentat que notre pays a connu, l’attaque criminelle de Grand-Bassam. Il nous fallait venir ici pour nous souvenir de nos martyrs, apporter nos compassions aux familles et à la ville », a-t-il souligné.
Le sens de cette cérémonie est de faire savoir que « la Côte d’Ivoire est un pays qui se bat pour qu’il y ait la paix » dans le pays, dans la sous-région et dans le monde, a-t-il poursuivi, avant d’ajouter « nous sommes un pays de paix ».
L’attaque de Grand-Bassam, cité balnéaire élue au patrimoine de l’Unesco, a repris ses activités. « Les week-end, on est complètement débordé », a assuré le maire Georges Philippe Ezaley, qui était aux côtés des autorités ivoiriennes lors de l’inauguration de la stèle, faite en marbre gris et longue de quatre mètres.
La stèle est située à quelques encablures du lieu de l’attaque après le pont menant à la plage. Pour M. Ablé, le Président du Conseil d’administration de l’Etoile du Sud, un réceptif hôtelier touché par l’attaque, « c’est une activité qui a été touchée » mais il est temps de se remettre.
« On ne va pas passer tout le temps à pleurer (…). On essaie de relancer les choses et depuis deux ans, on sait qu’il y a une évolution. Les populations d’Abidjan reprennent la route de Bassam. On sent que l’activité est en train de repartir », a-t-il assuré.
Les autorités ont déposé des gerbes de fleurs au pied de la stèle sur lesquelles l’on pouvait lire « la République s’en souvient ». Le Ministre d’Etat Hamad Bakayoko était en compagnie du ministre de la Santé et de l’hygiène publique, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, et de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire.
Dans la stèle est gravé le nom de 18 personnes tuées lors de l’attaque survenue le 13 mars sur les plages de Grand-Bassam.
AP/ls/APA
«Le moment n’est pas approprié pour faire le point de l’enquête. Je peux dire globalement (qu’elle) a abouti à l’arrestation du principal commanditaire qui est aujourd’hui en prison au Mali», a indiqué M. Hamed Bakayoko, sans autres précisions.
En souvenir à cet « événement tragique grave » qui a marqué la conscience des Ivoiriens et mobilisé la communauté internationale, le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara a instruit le gouvernement aux fins d’ériger une stèle « en mémoire des victimes de l’attaque terroriste du 13 mars 2016 sur les plages de Grand-Bassam », a fait savoir M. Bakayoko.
« Nous sommes au deuxième anniversaire du premier attentat que notre pays a connu, l’attaque criminelle de Grand-Bassam. Il nous fallait venir ici pour nous souvenir de nos martyrs, apporter nos compassions aux familles et à la ville », a-t-il souligné.
Le sens de cette cérémonie est de faire savoir que « la Côte d’Ivoire est un pays qui se bat pour qu’il y ait la paix » dans le pays, dans la sous-région et dans le monde, a-t-il poursuivi, avant d’ajouter « nous sommes un pays de paix ».
L’attaque de Grand-Bassam, cité balnéaire élue au patrimoine de l’Unesco, a repris ses activités. « Les week-end, on est complètement débordé », a assuré le maire Georges Philippe Ezaley, qui était aux côtés des autorités ivoiriennes lors de l’inauguration de la stèle, faite en marbre gris et longue de quatre mètres.
La stèle est située à quelques encablures du lieu de l’attaque après le pont menant à la plage. Pour M. Ablé, le Président du Conseil d’administration de l’Etoile du Sud, un réceptif hôtelier touché par l’attaque, « c’est une activité qui a été touchée » mais il est temps de se remettre.
« On ne va pas passer tout le temps à pleurer (…). On essaie de relancer les choses et depuis deux ans, on sait qu’il y a une évolution. Les populations d’Abidjan reprennent la route de Bassam. On sent que l’activité est en train de repartir », a-t-il assuré.
Les autorités ont déposé des gerbes de fleurs au pied de la stèle sur lesquelles l’on pouvait lire « la République s’en souvient ». Le Ministre d’Etat Hamad Bakayoko était en compagnie du ministre de la Santé et de l’hygiène publique, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, et de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire.
Dans la stèle est gravé le nom de 18 personnes tuées lors de l’attaque survenue le 13 mars sur les plages de Grand-Bassam.
AP/ls/APA