Dans la soirée du vendredi 09 mars 2018, le Ministre des Affaires Etrangères, Son Excellence Monsieur Marcel AMON-TANOH, a convié, en sa résidence de Cocody, l’ensemble du corps diplomatique accrédité en Côte d’Ivoire et le fleuron de l’entrepreneuriat ivoirien, avec à sa tête Monsieur Jean-Marie ACKAH, Président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). Monsieur Esmel ESSIS, Directeur Général du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), était également présent.
Dans son allocution, le Chef de la diplomatie ivoirienne a partagé avec ses hôtes la vision et l’ambition du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA.
« L’ambition du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, est de mettre la diplomatie ivoirienne au service du développement économique et social de son pays. C’est la raison pour laquelle il prône une diplomatie économique plus active, dont les principaux acteurs doivent être les Missions diplomatiques ainsi que les Consulats Généraux et Consulats Honoraires ivoiriens ouverts dans vos pays. Je voudrais, indiquer que la Côte d’Ivoire est présente dans le monde à travers 57 Ambassades, Missions Permanentes et Consulats Généraux », a-t-il clarifié d’entrée de jeu.
« Cette volonté politique du Chef de l’Etat cadre non seulement avec sa vision de l’émergence de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020, mais aussi et surtout avec le Plan National de Développement (PND 2016-2020) élaboré par le Gouvernement ivoirien».
Parlant du dynamisme de l’économie ivoirienne, le Ministre a rappelé que « la Côte d’Ivoire reste un marché libre, ouvert et concurrentiel, ouvert aux investisseurs. ».
Selon lui, la modernisation de cette économie « passe par son industrialisation, la transformation des produits agricoles, miniers et minéraliers sur place, et une place plus importante accordée au secteur des services ; l’objectif étant de faire profiter à la Côte d’Ivoire de la plus-value générée par cette transformation ».
Pour ce faire, « le Gouvernement entend désormais encadrer le secteur privé ivoirien à la recherche de débouchés » dans les pays amis : « à l’avenir, les délégations de nos opérateurs économiques et hommes d’affaires, en mission de prospection économique dans vos différents pays, seront accompagnés par des diplomates ivoiriens ou par des membres du Gouvernement, comme c’est le cas de vos missions économiques et commerciales en Côte d’Ivoire. Mon souhait est que nos Chefs d’entreprise et hommes d’affaires reçoivent le même accueil, et qu’ils puissent jouir des mêmes facilités que vos hommes d’affaires, lors de leurs missions ici en Côte d’Ivoire. »
Le Ministre des Affaires Etrangères a poursuivi en invitant les hommes d’affaires ivoiriens et étrangers à « un partenariat gagnant-gagnant » et ses hôtes, les diplomates, à appuyer la Côte d’Ivoire : « afin que les produits ivoiriens puissent être écoulés sans entrave » sur les marchés, en Europe, en Asie, en Amérique, en Afrique en général et en Afrique de l’Ouest, dans l’espace CEDEAO en particulier.
« Il faut que les produits ivoiriens puissent bénéficier des mêmes avantages fiscaux que ceux accordés aux produits importés par la Côte d’Ivoire. En un mot, nous souhaitons une pleine application du principe de réciprocité, dans nos nouvelles relations économiques et commerciales », a-t-il conclu.
Dans son allocution, le Chef de la diplomatie ivoirienne a partagé avec ses hôtes la vision et l’ambition du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA.
« L’ambition du Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, est de mettre la diplomatie ivoirienne au service du développement économique et social de son pays. C’est la raison pour laquelle il prône une diplomatie économique plus active, dont les principaux acteurs doivent être les Missions diplomatiques ainsi que les Consulats Généraux et Consulats Honoraires ivoiriens ouverts dans vos pays. Je voudrais, indiquer que la Côte d’Ivoire est présente dans le monde à travers 57 Ambassades, Missions Permanentes et Consulats Généraux », a-t-il clarifié d’entrée de jeu.
« Cette volonté politique du Chef de l’Etat cadre non seulement avec sa vision de l’émergence de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020, mais aussi et surtout avec le Plan National de Développement (PND 2016-2020) élaboré par le Gouvernement ivoirien».
Parlant du dynamisme de l’économie ivoirienne, le Ministre a rappelé que « la Côte d’Ivoire reste un marché libre, ouvert et concurrentiel, ouvert aux investisseurs. ».
Selon lui, la modernisation de cette économie « passe par son industrialisation, la transformation des produits agricoles, miniers et minéraliers sur place, et une place plus importante accordée au secteur des services ; l’objectif étant de faire profiter à la Côte d’Ivoire de la plus-value générée par cette transformation ».
Pour ce faire, « le Gouvernement entend désormais encadrer le secteur privé ivoirien à la recherche de débouchés » dans les pays amis : « à l’avenir, les délégations de nos opérateurs économiques et hommes d’affaires, en mission de prospection économique dans vos différents pays, seront accompagnés par des diplomates ivoiriens ou par des membres du Gouvernement, comme c’est le cas de vos missions économiques et commerciales en Côte d’Ivoire. Mon souhait est que nos Chefs d’entreprise et hommes d’affaires reçoivent le même accueil, et qu’ils puissent jouir des mêmes facilités que vos hommes d’affaires, lors de leurs missions ici en Côte d’Ivoire. »
Le Ministre des Affaires Etrangères a poursuivi en invitant les hommes d’affaires ivoiriens et étrangers à « un partenariat gagnant-gagnant » et ses hôtes, les diplomates, à appuyer la Côte d’Ivoire : « afin que les produits ivoiriens puissent être écoulés sans entrave » sur les marchés, en Europe, en Asie, en Amérique, en Afrique en général et en Afrique de l’Ouest, dans l’espace CEDEAO en particulier.
« Il faut que les produits ivoiriens puissent bénéficier des mêmes avantages fiscaux que ceux accordés aux produits importés par la Côte d’Ivoire. En un mot, nous souhaitons une pleine application du principe de réciprocité, dans nos nouvelles relations économiques et commerciales », a-t-il conclu.