Fidèle à ses principes et engagements à œuvrer à la promotion d’un Etat de Droit à l’expression de la démocratie en Côte d’Ivoire, l’ONG PLAYDOO-Côte d’Ivoire a décidé de s’impliquer dans les élections sénatoriales à travers une observation citoyenne de ce processus.
Cette volonté manifeste a été matérialisée à travers une déclaration relative à l’Election Sénatoriale, pondue par l’ONG PLAYDOO-Côte d’Ivoire, au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue ce jeudi 22 mars, au siège de ladite ONG. L’objectif de cette observation est avant tout un acte citoyen qui mettra les femmes au cœur du processus sénatorial.
Selon l’ONG PLAYDOO, pendant que la campagne électorale pour le Sénat bat son plein sur l’ensemble du territoire national, il est observé depuis quelques jours des tensions politiques. En effet, l’opposition ivoirienne qui ne participe pas à ces élections, souhaite son boycott aux motifs qu’elle conteste la légalité, la légitimité de l’organe en charge des élections, c’est-à-dire la CEI (Commission électorale indépendante). Ce pourquoi, PLAYDOO-CI appelle le gouvernement, le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité à tout mettre en œuvre afin de garantir les conditions nécessaires à la tenue d’un scrutin sénatorial sécurisé.
« Nous avons décidé d’aller à l’observation de ces sénatoriales-là, parce que c’est une première en Côte d’Ivoire, c’est historique. Deuxièmement, pour nous c’est un acte citoyen. Troisièmement, nous venons de nous rendre compte que si les femmes n’osent se présenter aux municipales, législatives ou régionales, elles ne seront jamais dans le Sénat », a indiqué la Président de PLAYDOO-CI, Mme Marie-Paule Kodjo.
Elle s’est par ailleurs appuyé sur l’argument selon lequel sur 66 candidatures, il y en a 33 du RHDP, 25 des indépendants. Et quand on prend dans la globalité, il n’y a que 11 femmes. Pour dire aux femmes qu’encore une fois, elles ne sont pas nombreuses. « Donc, ça va nous booster, ça va nous pousser à nous battre, à oser être Maire, Député, ou Présidente de Conseil régional pour pouvoir accéder au Sénat », a-t-elle estimé.
JOB
Cette volonté manifeste a été matérialisée à travers une déclaration relative à l’Election Sénatoriale, pondue par l’ONG PLAYDOO-Côte d’Ivoire, au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue ce jeudi 22 mars, au siège de ladite ONG. L’objectif de cette observation est avant tout un acte citoyen qui mettra les femmes au cœur du processus sénatorial.
Selon l’ONG PLAYDOO, pendant que la campagne électorale pour le Sénat bat son plein sur l’ensemble du territoire national, il est observé depuis quelques jours des tensions politiques. En effet, l’opposition ivoirienne qui ne participe pas à ces élections, souhaite son boycott aux motifs qu’elle conteste la légalité, la légitimité de l’organe en charge des élections, c’est-à-dire la CEI (Commission électorale indépendante). Ce pourquoi, PLAYDOO-CI appelle le gouvernement, le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité à tout mettre en œuvre afin de garantir les conditions nécessaires à la tenue d’un scrutin sénatorial sécurisé.
« Nous avons décidé d’aller à l’observation de ces sénatoriales-là, parce que c’est une première en Côte d’Ivoire, c’est historique. Deuxièmement, pour nous c’est un acte citoyen. Troisièmement, nous venons de nous rendre compte que si les femmes n’osent se présenter aux municipales, législatives ou régionales, elles ne seront jamais dans le Sénat », a indiqué la Président de PLAYDOO-CI, Mme Marie-Paule Kodjo.
Elle s’est par ailleurs appuyé sur l’argument selon lequel sur 66 candidatures, il y en a 33 du RHDP, 25 des indépendants. Et quand on prend dans la globalité, il n’y a que 11 femmes. Pour dire aux femmes qu’encore une fois, elles ne sont pas nombreuses. « Donc, ça va nous booster, ça va nous pousser à nous battre, à oser être Maire, Député, ou Présidente de Conseil régional pour pouvoir accéder au Sénat », a-t-elle estimé.
JOB