Mesdames et Messieurs,
Chers frères et sœurs,
Chers amis de la Côte d’Ivoire.
Le Samedi 24 Mars prochain, c’est-à-dire demain, les Députés de notre pays, nos Représentants à l’Assemblée Nationale, ainsi que nos Elus locaux, Conseillers Régionaux et Conseillers Municipaux, se rendront aux urnes pour choisir les membres du Sénat, l’une des deux Chambres législatives que compte désormais notre Parlement ; une première pour notre pays.
Au nombre de 7 011, nos Députés et Elus locaux constituent, en effet, le collège électoral spécifique appelé à élire, au suffrage universel indirect, nos futurs Sénateurs, tel que prévu par la Constitution, notre Loi fondamentale.
La Commission Electorale Indépendante (CEI), en charge de l’organisation de ce scrutin, a reçu, dans les délais requis, 61 listes de candidatures, à raison de 2 candidats par liste, pour les 33 circonscriptions électorales concernées, à savoir les 31 Régions et les 2 Districts Autonomes (Abidjan et Yamoussoukro) de notre pays.
Après analyse de ces différentes candidatures par la CEI, et le traitement du contentieux de l’éligibilité qui relève de la compétence du Conseil Constitutionnel, 58 listes de candidatures ont été retenues pour cette élection.
Ce scrutin permettra au collège électoral convoqué à cet effet, par décret pris en Conseil des Ministres le 21 février dernier (le décret n° 2018-202), de choisir les 66 Sénateurs devant être élus, soit 2 Sénateurs par circonscription électorale. Ces 66 Sénateurs, faut-il le rappeler, constitueront les deux tiers des membres de notre Sénat ; le tiers restant des membres de cette Chambre devant être désignés par le Chef de l’Etat.
Trente-cinq (35) bureaux de vote seront ouverts pour la tenue du scrutin ; un (1) bureau au chef-lieu de chaque Circonscription électorale, à l’exception d’Abidjan qui en comptera trois (3) en raison du nombre d’électeurs du District Autonome d’Abidjan.
Conformément au décret n° 2018-203 du 21 Février 2018 fixant la période officielle de la campagne électorale, celle-ci s’est déroulée du 19 au 22 Mars, dans les différentes Circonscriptions électorales, et aux dires de l’ensemble des Superviseurs de nos démembrements locaux et du Corps préfectoral concerné, cette campagne a été menée sans violences, ni heurts.
Les 116 candidats formant les 58 listes retenues pour cette compétition électorale et leurs états-majors de campagne, ont su faire preuve, ainsi, d’un sens élevé de civisme et de fair-play électoral que je voudrais saluer et mettre en exergue à ce stade de mon propos.
Tout en vous remerciant et vous félicitant, chers frères et sœurs, candidats et électeurs, pour l’exemplarité de votre attitude, je voudrais vous inviter, instamment, à maintenir le cap jusqu’au soir du 24 Mars, à l’issue du scrutin, et même au-delà.
Je voudrais également saisir l’opportunité de cette adresse pour vous assurer, à nouveau, et à travers vous, à l’ensemble de nos compatriotes, du ferme engagement de la Commission Electorale Indépendante, Institution citoyenne, à conduire cette élection en toute équité, impartialité et transparence, comme elle l’a toujours fait, au demeurant, et continuera de le faire.
Il s’agit là, de la « feuille de route », des « poteaux indicateurs » dont s’est dotée notre Commission dans l’exercice de sa mission.
Comme nous l’avons souligné, à maintes reprises, la seule et unique ambition de notre Institution demeure de servir la cause « d’une culture de la démocratie et d’une conscience citoyenne, amplement partagées par chacune et chacun de nous.
J’ose espérer que le scrutin du 24 Mars 2018, quoique limité dans son ampleur ; les Sénateurs étant élus au suffrage indirect, contribuera à consolider davantage encore les acquis manifestes enregistrés ces dernières années par notre jeune démocratie. J’ose espérer, également, que ce scrutin nous permettra de faire un pas significatif vers le renforcement de notre communauté de destin.
Je ne saurais achever mon propos sans vous assurer que nous avons déjà pris, en liaison avec nos Autorités compétentes, les mesures nécessaires pour garantir la sécurité de toutes les parties prenantes au déroulement de ce scrutin, candidats et électeurs en particulier. La Commission Electorale Indépendante s’engage, en outre, à en proclamer les résultats dans les délais les meilleurs.
Je voudrais vous souhaiter, enfin, chers frères et sœurs, candidats et candidates, Bonne chance à tous et à toutes, et que les meilleurs gagnent.
Je vous remercie de votre attention.
Youssouf BAKAYOKO
Président de la Commission
Electorale Indépendante
Chers frères et sœurs,
Chers amis de la Côte d’Ivoire.
Le Samedi 24 Mars prochain, c’est-à-dire demain, les Députés de notre pays, nos Représentants à l’Assemblée Nationale, ainsi que nos Elus locaux, Conseillers Régionaux et Conseillers Municipaux, se rendront aux urnes pour choisir les membres du Sénat, l’une des deux Chambres législatives que compte désormais notre Parlement ; une première pour notre pays.
Au nombre de 7 011, nos Députés et Elus locaux constituent, en effet, le collège électoral spécifique appelé à élire, au suffrage universel indirect, nos futurs Sénateurs, tel que prévu par la Constitution, notre Loi fondamentale.
La Commission Electorale Indépendante (CEI), en charge de l’organisation de ce scrutin, a reçu, dans les délais requis, 61 listes de candidatures, à raison de 2 candidats par liste, pour les 33 circonscriptions électorales concernées, à savoir les 31 Régions et les 2 Districts Autonomes (Abidjan et Yamoussoukro) de notre pays.
Après analyse de ces différentes candidatures par la CEI, et le traitement du contentieux de l’éligibilité qui relève de la compétence du Conseil Constitutionnel, 58 listes de candidatures ont été retenues pour cette élection.
Ce scrutin permettra au collège électoral convoqué à cet effet, par décret pris en Conseil des Ministres le 21 février dernier (le décret n° 2018-202), de choisir les 66 Sénateurs devant être élus, soit 2 Sénateurs par circonscription électorale. Ces 66 Sénateurs, faut-il le rappeler, constitueront les deux tiers des membres de notre Sénat ; le tiers restant des membres de cette Chambre devant être désignés par le Chef de l’Etat.
Trente-cinq (35) bureaux de vote seront ouverts pour la tenue du scrutin ; un (1) bureau au chef-lieu de chaque Circonscription électorale, à l’exception d’Abidjan qui en comptera trois (3) en raison du nombre d’électeurs du District Autonome d’Abidjan.
Conformément au décret n° 2018-203 du 21 Février 2018 fixant la période officielle de la campagne électorale, celle-ci s’est déroulée du 19 au 22 Mars, dans les différentes Circonscriptions électorales, et aux dires de l’ensemble des Superviseurs de nos démembrements locaux et du Corps préfectoral concerné, cette campagne a été menée sans violences, ni heurts.
Les 116 candidats formant les 58 listes retenues pour cette compétition électorale et leurs états-majors de campagne, ont su faire preuve, ainsi, d’un sens élevé de civisme et de fair-play électoral que je voudrais saluer et mettre en exergue à ce stade de mon propos.
Tout en vous remerciant et vous félicitant, chers frères et sœurs, candidats et électeurs, pour l’exemplarité de votre attitude, je voudrais vous inviter, instamment, à maintenir le cap jusqu’au soir du 24 Mars, à l’issue du scrutin, et même au-delà.
Je voudrais également saisir l’opportunité de cette adresse pour vous assurer, à nouveau, et à travers vous, à l’ensemble de nos compatriotes, du ferme engagement de la Commission Electorale Indépendante, Institution citoyenne, à conduire cette élection en toute équité, impartialité et transparence, comme elle l’a toujours fait, au demeurant, et continuera de le faire.
Il s’agit là, de la « feuille de route », des « poteaux indicateurs » dont s’est dotée notre Commission dans l’exercice de sa mission.
Comme nous l’avons souligné, à maintes reprises, la seule et unique ambition de notre Institution demeure de servir la cause « d’une culture de la démocratie et d’une conscience citoyenne, amplement partagées par chacune et chacun de nous.
J’ose espérer que le scrutin du 24 Mars 2018, quoique limité dans son ampleur ; les Sénateurs étant élus au suffrage indirect, contribuera à consolider davantage encore les acquis manifestes enregistrés ces dernières années par notre jeune démocratie. J’ose espérer, également, que ce scrutin nous permettra de faire un pas significatif vers le renforcement de notre communauté de destin.
Je ne saurais achever mon propos sans vous assurer que nous avons déjà pris, en liaison avec nos Autorités compétentes, les mesures nécessaires pour garantir la sécurité de toutes les parties prenantes au déroulement de ce scrutin, candidats et électeurs en particulier. La Commission Electorale Indépendante s’engage, en outre, à en proclamer les résultats dans les délais les meilleurs.
Je voudrais vous souhaiter, enfin, chers frères et sœurs, candidats et candidates, Bonne chance à tous et à toutes, et que les meilleurs gagnent.
Je vous remercie de votre attention.
Youssouf BAKAYOKO
Président de la Commission
Electorale Indépendante