Quelque 1.500 chefs d’entreprises, investisseurs et décideurs publics dont les chefs d’Etat Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire), Emmerson Mnangagwa (Zimbabwe) et Nana Addo Dankwa Akufo-Addo (Ghana) participent à Abidjan à un forum économique sur la transformation industrielle de l’Afrique.
A l’ouverture lundi de la rencontre dénommée The Africa CEO Forum, le président ivoirien Alassane Ouattara a présenté les faiblesses du continent africain qui ne compte que "400 entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse un milliard de dollars".
"Aucune des entreprises africaines ne fait partie du classement du top cinq cents des plus grandes entreprises dans le monde", a-t-il ajouté non sans indiquer que le secteur manufacturier est "moins performant".
Pour Alassane Ouattara, le secteur privé doit être le "moteur" de la croissance en Afrique pour une "indépendance réelle".
Il appelé le secteur privé en Afrique à faire des efforts en vue d’améliorer sa productivité et ses performances, tout en mettant l’accent sur l’innovation technologique.
A l’endroit des pouvoirs publics, Alassane Ouattara a souligné que l’accent doit être mis sur "quatre priorités".
Il a insisté sur la production et la diversification des économies ainsi que l’amélioration du climat des affaires pour attirer le secteur privé, l’économie numérique comme moteur de la croissance et de l’amélioration de la gouvernance, des investissements importants dans les infrastructures, l’intégration régionale et l’éducation des jeunes, en particulier des jeunes filles.
"Passer très rapidement à une transformation vers l’industrialisation et donc vers l’émergence n’est pas impossible, car l’Afrique a tout ce qu’il faut pour se développer", estime le président ivoirien.
"60% des terres arables du monde se trouvent sur notre continent, auxquelles il faut ajouter des ressources minières et énergétiques en abondance", a-t-il relevé, non sans ajouter la jeunesse de la population africaine et le "dynamisme" des économies africaines.
Avant Alassane Ouattara, les chefs d’Etat du Zimbabwe et du Ghana se sont succédé à la tribune pour exalter les atouts de leurs pays respectifs et leur foi dans le secteur privé comme moteur essentiel de la croissance. Ils ont invité les investisseurs et les hommes d’affaires à entreprendre dans leur pays.
The Africa CEO Forum qui s’achève mardi est à sa 6ème édition.
A l’ouverture lundi de la rencontre dénommée The Africa CEO Forum, le président ivoirien Alassane Ouattara a présenté les faiblesses du continent africain qui ne compte que "400 entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse un milliard de dollars".
"Aucune des entreprises africaines ne fait partie du classement du top cinq cents des plus grandes entreprises dans le monde", a-t-il ajouté non sans indiquer que le secteur manufacturier est "moins performant".
Pour Alassane Ouattara, le secteur privé doit être le "moteur" de la croissance en Afrique pour une "indépendance réelle".
Il appelé le secteur privé en Afrique à faire des efforts en vue d’améliorer sa productivité et ses performances, tout en mettant l’accent sur l’innovation technologique.
A l’endroit des pouvoirs publics, Alassane Ouattara a souligné que l’accent doit être mis sur "quatre priorités".
Il a insisté sur la production et la diversification des économies ainsi que l’amélioration du climat des affaires pour attirer le secteur privé, l’économie numérique comme moteur de la croissance et de l’amélioration de la gouvernance, des investissements importants dans les infrastructures, l’intégration régionale et l’éducation des jeunes, en particulier des jeunes filles.
"Passer très rapidement à une transformation vers l’industrialisation et donc vers l’émergence n’est pas impossible, car l’Afrique a tout ce qu’il faut pour se développer", estime le président ivoirien.
"60% des terres arables du monde se trouvent sur notre continent, auxquelles il faut ajouter des ressources minières et énergétiques en abondance", a-t-il relevé, non sans ajouter la jeunesse de la population africaine et le "dynamisme" des économies africaines.
Avant Alassane Ouattara, les chefs d’Etat du Zimbabwe et du Ghana se sont succédé à la tribune pour exalter les atouts de leurs pays respectifs et leur foi dans le secteur privé comme moteur essentiel de la croissance. Ils ont invité les investisseurs et les hommes d’affaires à entreprendre dans leur pays.
The Africa CEO Forum qui s’achève mardi est à sa 6ème édition.