Abidjan - Le premier radar fixe automatique de Côte d’Ivoire, installé sur l’autoroute Abidjan-Grand Bassam, a été inauguré vendredi par le ministre des Transports, Amadou Koné, et son collègue des Infrastructures économiques, Amédé Kouakou, en marge d’une cérémonie de lancement de la campagne de sensibilisation à la sécurité routière.
D’un coût de 123 millions Fcfa, Selon Maïga Ousmane, chef du service intervention à l’Office de sécurité routière (OSER), ce radar prend les images de jour comme de nuit, en temps de pluie ou de brouillard.
Expliquant son fonctionnement, il a précisé que lorsqu’un véhicule dépasse la vitesse autorisée, le radar décèle l’excès et prend la photo automatiquement qui est cryptée et transmise immédiatement au centre de traitement des infractions via un réseau numérique.
Ces informations seront traitées par les agents de l’OSER assistés d’officiers issus de la police spéciale de la sécurité routière qui constateront l’infraction dans ledit centre.
A partir du centre de traitement a détaillé M. Maïga, une liaison informatique pourra être établie avec la base de données nationale des immatriculations des véhicules afin d’identifier les propriétaires des engins en excès de vitesse.
Le ministre des Transports, Amadou Koné a précisé que les performances remarquables et le mode opératoire de ce radar vont contribuer à lutter contre l’accès de vitesse et le nombre d’accidents sur les routes.
Le Gouvernement compte installer une dizaine de ce nouveau type de radar sur les routes ivoiriennes en 2018 en vue de réduire considérablement le nombre d’accidents, indique-t-on.
bsp
D’un coût de 123 millions Fcfa, Selon Maïga Ousmane, chef du service intervention à l’Office de sécurité routière (OSER), ce radar prend les images de jour comme de nuit, en temps de pluie ou de brouillard.
Expliquant son fonctionnement, il a précisé que lorsqu’un véhicule dépasse la vitesse autorisée, le radar décèle l’excès et prend la photo automatiquement qui est cryptée et transmise immédiatement au centre de traitement des infractions via un réseau numérique.
Ces informations seront traitées par les agents de l’OSER assistés d’officiers issus de la police spéciale de la sécurité routière qui constateront l’infraction dans ledit centre.
A partir du centre de traitement a détaillé M. Maïga, une liaison informatique pourra être établie avec la base de données nationale des immatriculations des véhicules afin d’identifier les propriétaires des engins en excès de vitesse.
Le ministre des Transports, Amadou Koné a précisé que les performances remarquables et le mode opératoire de ce radar vont contribuer à lutter contre l’accès de vitesse et le nombre d’accidents sur les routes.
Le Gouvernement compte installer une dizaine de ce nouveau type de radar sur les routes ivoiriennes en 2018 en vue de réduire considérablement le nombre d’accidents, indique-t-on.
bsp