Abidjan - Le siège de l’Association ivoirienne pour le bien-être familial (AIBEF), à Treichville, a servi de cadre, à la tenue d’un atelier de restitution des résultats des études du projet Transform/Phare, sur la planification familiale à l’intention des acteurs intervenant dans la santé de la reproduction, apprend-on d’une note d’information transmise ce mardi, à l’AIP.
Cet atelier qui s’est étendu sur deux jours (les 6 et 7 mars) était une initiative de l’Ong Population Services International (PSI) qui bénéficie depuis 2016, d’un financement de l’USAID d’une durée de cinq ans pour la mise en œuvre d’un Projet de Santé de la Reproduction et de Planification Familiale en Afrique de l’Ouest, notamment en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Niger.
Il s’est agi de discuter de l’utilisation des résultats de l'analyse de la demande nationale de Planification familiale avec les partenaires intervenant dans le domaine en Côte d’Ivoire., de présenter les résultats de l’analyse des obstacles et barrières à l’offre de services de planification familiale par les prestataires de santé, de présenter les résultats de l’analyse du Marché total des interventions de planification familiale et de Communication pour le Changement Social et Comportemental (CCSC), de recueillir les suggestions des participants et de faire des recommandations.
La représentante résidente du PSI-CI, Marie Baltiste, a exhorté donc les partenaires à s’approprier les résultats de ces études afin d’initier des actions susceptibles d’accroitre le taux de prévalence contraceptive en Côte d’Ivoire.
Ce projet Transform/phare a pour but de générer des stratégies innovantes de CCSC. Basées sur l’évidence, ces stratégies visent à révéler les obstacles à l’utilisation des contraceptifs modernes, transformer les attitudes sur la santé reproductive, afin de promouvoir la planification familiale.
Les interventions de ce projet ambitionnent spécifiquement d’accroitre la demande en produits et services de planification familiale, de renforcer le soutien actif pour la planification familiale parmi les principales cibles secondaires et d’améliorer les normes sociales afin de créer un environnement favorable à cette planification.
La rencontre a combiné à la fois la réflexion sur l’utilisation des résultats de l’analyse des besoins, attitudes et comportements des femmes en âge de procréer et la restitution des deux dernières analyses, « Les barrières liées aux prestataires dans l’offre de services de planification familiale » et « L’analyse du Marché de Planification Familiale et des Services de Communication pour le Changement Social et Comportemental selon l’Approche du Marché Total ».
fmo
Cet atelier qui s’est étendu sur deux jours (les 6 et 7 mars) était une initiative de l’Ong Population Services International (PSI) qui bénéficie depuis 2016, d’un financement de l’USAID d’une durée de cinq ans pour la mise en œuvre d’un Projet de Santé de la Reproduction et de Planification Familiale en Afrique de l’Ouest, notamment en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Niger.
Il s’est agi de discuter de l’utilisation des résultats de l'analyse de la demande nationale de Planification familiale avec les partenaires intervenant dans le domaine en Côte d’Ivoire., de présenter les résultats de l’analyse des obstacles et barrières à l’offre de services de planification familiale par les prestataires de santé, de présenter les résultats de l’analyse du Marché total des interventions de planification familiale et de Communication pour le Changement Social et Comportemental (CCSC), de recueillir les suggestions des participants et de faire des recommandations.
La représentante résidente du PSI-CI, Marie Baltiste, a exhorté donc les partenaires à s’approprier les résultats de ces études afin d’initier des actions susceptibles d’accroitre le taux de prévalence contraceptive en Côte d’Ivoire.
Ce projet Transform/phare a pour but de générer des stratégies innovantes de CCSC. Basées sur l’évidence, ces stratégies visent à révéler les obstacles à l’utilisation des contraceptifs modernes, transformer les attitudes sur la santé reproductive, afin de promouvoir la planification familiale.
Les interventions de ce projet ambitionnent spécifiquement d’accroitre la demande en produits et services de planification familiale, de renforcer le soutien actif pour la planification familiale parmi les principales cibles secondaires et d’améliorer les normes sociales afin de créer un environnement favorable à cette planification.
La rencontre a combiné à la fois la réflexion sur l’utilisation des résultats de l’analyse des besoins, attitudes et comportements des femmes en âge de procréer et la restitution des deux dernières analyses, « Les barrières liées aux prestataires dans l’offre de services de planification familiale » et « L’analyse du Marché de Planification Familiale et des Services de Communication pour le Changement Social et Comportemental selon l’Approche du Marché Total ».
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