Yamoussoukro - Les premiers sénateurs ivoiriens qui ont effectué jeudi leur rentrée solennelle ont exprimé leur joie d’être désormais membre de la Chambre haute et se disent prêts à mettre leurs expériences au service de la démocratie et du développement de la Côte d’ Ivoire.
Certains l’ont exprimé à l’AIP jeudi, à la fin de l’ouverture de la première session ordinaire 2018 tenue à la Fondation Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.
« C’est avec une grande joie que nous avons pris officiellement fonction. Le Gouvernement a voulu que le Parlement soit bicaméral, c’est ce qui a été fait aujourd’hui », s’est réjoui le sénateur de l’Agnéby Tiassa, Amon Ekissi Hyacinthe. Il a indiqué que leur rôle sera de voter les lois qui puissent faire avancer la Côte d’Ivoire. « Nous allons nous y atteler pour que le pays avance », a-t-il promis.
Le sénateur du District autonome de Yamoussoukro, Konan Yao Gbeugré, estime que le discours du président de la République Alassane Ouattara lors de la session est pour eux une feuille de route pour la vitalité de la démocratie en Côte d’Ivoire. « Nous resterons dignes des collectivités territoriales et travaillerons sous la houlette de notre président Jeannot Ahoussou Kouadio, en collaboration avec l’Assemblé nationale pour bien étudier les textes qui profiteront à nos populations », a-t-il avancé.
Pour le sénateur de la région de l’Iffou, Koumoué Koffi Moïse, le Sénat étant une chambre de sagesse, de réflexion et une chambre technique, et les sénateurs doivent être remplis de sérénité pour étudier les dossiers allant dans le sens de l’efficacité. « Nous devons donc mettre le poids de l’expérience au service du développement de notre pays », a-t-il conseillé.
« C’est historique et nous espérons être à la hauteur de la tâche qui nous est due », a fait savoir la sénatrice du Folon, Chantal Fanny, l’une des huit femmes élues sur les 66 sénateurs. Elle a exprimé sa fierté et son honneur pour toutes les femmes de Côte d’Ivoire qu’elles représentent au Sénat.
Sa collègue Sarrah Sako Fatiga, sénatrice du Bafing, s’est dit fière de son pays qui vient d’avoir deux Chambres pour renforcer sa démocratie.« Maintenant, je vais au Sénat, c’est une nouvelle expérience. J’en suis très fière et je suis heureuse. C’est un grand bonheur! », s’est exprimée l’ex-député qui assurait lors de la législature précédente, la première vice-présidence de l’Assemblée nationale.
Le sénateur Seu-Tia du Tonkpi s’est dit impressionné par la « cérémonie très mémorable » et le discours du président de la République. « C’était une salle de classe avec beaucoup de leçons que nous devons apprendre et réviser », admet-il.
Quant à Tiémoko Koffi, sénateur du Moronou, il s’est déclaré fier d’avoir pris part à la première assemblée du Sénat dont le rôle consiste à contribuer au renforcement de la démocratie. Il a invité les Ivoiriens à les assister et à les soutenir dans « le travail de participation » à la démocratie en Côte d’Ivoire.
nam/cmas
Certains l’ont exprimé à l’AIP jeudi, à la fin de l’ouverture de la première session ordinaire 2018 tenue à la Fondation Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.
« C’est avec une grande joie que nous avons pris officiellement fonction. Le Gouvernement a voulu que le Parlement soit bicaméral, c’est ce qui a été fait aujourd’hui », s’est réjoui le sénateur de l’Agnéby Tiassa, Amon Ekissi Hyacinthe. Il a indiqué que leur rôle sera de voter les lois qui puissent faire avancer la Côte d’Ivoire. « Nous allons nous y atteler pour que le pays avance », a-t-il promis.
Le sénateur du District autonome de Yamoussoukro, Konan Yao Gbeugré, estime que le discours du président de la République Alassane Ouattara lors de la session est pour eux une feuille de route pour la vitalité de la démocratie en Côte d’Ivoire. « Nous resterons dignes des collectivités territoriales et travaillerons sous la houlette de notre président Jeannot Ahoussou Kouadio, en collaboration avec l’Assemblé nationale pour bien étudier les textes qui profiteront à nos populations », a-t-il avancé.
Pour le sénateur de la région de l’Iffou, Koumoué Koffi Moïse, le Sénat étant une chambre de sagesse, de réflexion et une chambre technique, et les sénateurs doivent être remplis de sérénité pour étudier les dossiers allant dans le sens de l’efficacité. « Nous devons donc mettre le poids de l’expérience au service du développement de notre pays », a-t-il conseillé.
« C’est historique et nous espérons être à la hauteur de la tâche qui nous est due », a fait savoir la sénatrice du Folon, Chantal Fanny, l’une des huit femmes élues sur les 66 sénateurs. Elle a exprimé sa fierté et son honneur pour toutes les femmes de Côte d’Ivoire qu’elles représentent au Sénat.
Sa collègue Sarrah Sako Fatiga, sénatrice du Bafing, s’est dit fière de son pays qui vient d’avoir deux Chambres pour renforcer sa démocratie.« Maintenant, je vais au Sénat, c’est une nouvelle expérience. J’en suis très fière et je suis heureuse. C’est un grand bonheur! », s’est exprimée l’ex-député qui assurait lors de la législature précédente, la première vice-présidence de l’Assemblée nationale.
Le sénateur Seu-Tia du Tonkpi s’est dit impressionné par la « cérémonie très mémorable » et le discours du président de la République. « C’était une salle de classe avec beaucoup de leçons que nous devons apprendre et réviser », admet-il.
Quant à Tiémoko Koffi, sénateur du Moronou, il s’est déclaré fier d’avoir pris part à la première assemblée du Sénat dont le rôle consiste à contribuer au renforcement de la démocratie. Il a invité les Ivoiriens à les assister et à les soutenir dans « le travail de participation » à la démocratie en Côte d’Ivoire.
nam/cmas