Invité à la « Tribune du Gepci », le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire, le 12 avril, SEM .Jean-Marie Somet, élevé par SEM. Alassane Ouattara, Président de la République depuis février à la dignité d’Ambassadeur, le Directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme et Commissaire général du Salon international du tourisme d’Abidjan (Sita) dont la 8e édition se tient du 27 avril au 1er mai, a exposé sur les ambitions du tourisme ivoirien. Dont la Sita, à maints égards, est la vitrine préférentielle. Tout en se réjouissant de la lucarne offerte par le Gepci, reprenant, à propos, le propos du président de la faîtière des entreprises de presse, Patrice Yao. Qui a réitéré le rôle de médiateur social et d’intérêt public de la presse. Surtout quand il s’agit d’une opération de charme de la destination Côte d’Ivoire.
Aussi, pour le premier responsable de l’Office national de promotion de la destination ivoirienne intra et extra muros, en 8 éditions, le Sita se positionne comme la matrice pour faire de notre capitale, « Abidjan, un hub régional pour le secteur touristique ». Et d’arguer, conformément à la thématique générique de l’édition 2018 du Sita « Les nouvelles technologies au service du tourisme », que « Le Sita et donc l’industrie touristique devrait être boosté par l’implémentation desdites technologies, la digitalisation des offres et services ainsi que des pratiques professionnelles ».
C’est pourquoi et à juste titre, pas moins d’une quinzaine de pays qui confirment leur présence sur le site des expositions de la zone aéroportuaire d’Abidjan, appelé, du reste à abriter le futur Parc d’exposition d’Abidjan. Mieux, le commissaire général confirme, qu’outre le Salon de Durban, toutes proportions gardées, le Sita est le seul qui remplit toutes les commodités opérationnelles et ergonomiques efficientes et suscite de la part de grandes destinations comme le Maroc ou le Sénégal, l’expertise de Côte d’Ivoire Tourisme, ou à tout le moins, l’appropriation du Sita comme une vitrine incontournable.
Pour faire mieux que l’édition 2017, où durant 4 jours, 45 000 visiteurs ont été enregistrés, avec 1380 rencontres professionnelles, 260 exposants, 47 animations et 160 journalistes, le tout sur 45 000 m2 l’équipe du Sita compte mettre en application le thème générique autour du numérique.
Car, à en croire Jean-Marie Somet, auréolé de sa longue et riche expérience de diplomate et de journaliste au service de la promotion de son pays et au-delà, est convaincu que : « Internet a tout révolutionné ! À l’ère des nouvelles technologies de l’information et de la communication, l’approche des pratiques touristiques change également. Il y a de nouvelles conceptions qui s’installent et de nouvelles stratégies qui sont adoptées. Dorénavant, les structures du tourisme marchent avec les avancées des dernières technologies et doivent faire preuve de créativité et d’originalité ». Dans cette perspective, la posture idoine, pour synthétiser l’argumentaire du boss du Sita, c’est qu’à mesure que le temps avance, les besoins en termes de tourisme augmentent également. Les nouvelles technologies ont de réels impacts dans ce secteur en pleine expansion.
Vivre des expériences inoubliables par le… digital
Aussi, il est important de proposer une nouvelle approche des œuvres d’art et des patrimoines et sites touristiques. En effet, afin de satisfaire leur clientèle, l’Office développe avec des musées, hôtels, guides, agences et autres structures, à l’instar du nec plus ultra de par le monde, la mise en place des visites virtuelles, personnalisées et autoguidées, des expositions numériques, des maquettes 3D, etc. Bref, Côte d’Ivoire Tourisme via le Sita, mise sur comment permettre aux visiteurs de vivre des expériences authentiques et inoubliables. Ils proposent également la numérisation des ressources historiques et artistiques afin de les adapter à l’évolution des techniques du tourisme.
Cette stratégie consiste à conserver ou à reconstruire des patrimoines culturels, des œuvres d’art, des sites touristiques et à les diffuser à une plus grande économie du savoir. C’est donc en enjeu réel de l’écosystème des agences de voyages, tour-operators, compagnies aériennes, artisans d’art, hôteliers, école de formation et bien plus, qui se joue à Abidjan.
Le Sita 2018 sera, à coup sûr, l’occasion pour les agences de certification en matière de qualité et normes de décerner officiellement la certification à la norme ISO 9001 version 2015 relative aux changements et évolutions à laquelle Côte d’Ivoire Tourisme est éligible.
Aussi, pour le premier responsable de l’Office national de promotion de la destination ivoirienne intra et extra muros, en 8 éditions, le Sita se positionne comme la matrice pour faire de notre capitale, « Abidjan, un hub régional pour le secteur touristique ». Et d’arguer, conformément à la thématique générique de l’édition 2018 du Sita « Les nouvelles technologies au service du tourisme », que « Le Sita et donc l’industrie touristique devrait être boosté par l’implémentation desdites technologies, la digitalisation des offres et services ainsi que des pratiques professionnelles ».
C’est pourquoi et à juste titre, pas moins d’une quinzaine de pays qui confirment leur présence sur le site des expositions de la zone aéroportuaire d’Abidjan, appelé, du reste à abriter le futur Parc d’exposition d’Abidjan. Mieux, le commissaire général confirme, qu’outre le Salon de Durban, toutes proportions gardées, le Sita est le seul qui remplit toutes les commodités opérationnelles et ergonomiques efficientes et suscite de la part de grandes destinations comme le Maroc ou le Sénégal, l’expertise de Côte d’Ivoire Tourisme, ou à tout le moins, l’appropriation du Sita comme une vitrine incontournable.
Pour faire mieux que l’édition 2017, où durant 4 jours, 45 000 visiteurs ont été enregistrés, avec 1380 rencontres professionnelles, 260 exposants, 47 animations et 160 journalistes, le tout sur 45 000 m2 l’équipe du Sita compte mettre en application le thème générique autour du numérique.
Car, à en croire Jean-Marie Somet, auréolé de sa longue et riche expérience de diplomate et de journaliste au service de la promotion de son pays et au-delà, est convaincu que : « Internet a tout révolutionné ! À l’ère des nouvelles technologies de l’information et de la communication, l’approche des pratiques touristiques change également. Il y a de nouvelles conceptions qui s’installent et de nouvelles stratégies qui sont adoptées. Dorénavant, les structures du tourisme marchent avec les avancées des dernières technologies et doivent faire preuve de créativité et d’originalité ». Dans cette perspective, la posture idoine, pour synthétiser l’argumentaire du boss du Sita, c’est qu’à mesure que le temps avance, les besoins en termes de tourisme augmentent également. Les nouvelles technologies ont de réels impacts dans ce secteur en pleine expansion.
Vivre des expériences inoubliables par le… digital
Aussi, il est important de proposer une nouvelle approche des œuvres d’art et des patrimoines et sites touristiques. En effet, afin de satisfaire leur clientèle, l’Office développe avec des musées, hôtels, guides, agences et autres structures, à l’instar du nec plus ultra de par le monde, la mise en place des visites virtuelles, personnalisées et autoguidées, des expositions numériques, des maquettes 3D, etc. Bref, Côte d’Ivoire Tourisme via le Sita, mise sur comment permettre aux visiteurs de vivre des expériences authentiques et inoubliables. Ils proposent également la numérisation des ressources historiques et artistiques afin de les adapter à l’évolution des techniques du tourisme.
Cette stratégie consiste à conserver ou à reconstruire des patrimoines culturels, des œuvres d’art, des sites touristiques et à les diffuser à une plus grande économie du savoir. C’est donc en enjeu réel de l’écosystème des agences de voyages, tour-operators, compagnies aériennes, artisans d’art, hôteliers, école de formation et bien plus, qui se joue à Abidjan.
Le Sita 2018 sera, à coup sûr, l’occasion pour les agences de certification en matière de qualité et normes de décerner officiellement la certification à la norme ISO 9001 version 2015 relative aux changements et évolutions à laquelle Côte d’Ivoire Tourisme est éligible.