Abidjan - Les chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), réunis samedi à Lomé, au Togo, à l’occasion d’un sommet extraordinaire à huis clos, ont été informés de la nomination d’Aristide Gomes comme Premier ministre de consensus par le président bissau-guinéen, José Mario Vaz, après consultations avec les forces politiques et la société civile.
Cette nomination sera prise par décret présidentiel le 17 avril 2018, rapporte un communiqué de presse de la CEDEAO transmis lundi à l’AIP.
Ils ont également pris note des décisions relatives à la tenue des élections législatives le 18 novembre 2018, et de l’ouverture du parlement le 19 avril pour statuer notamment sur les points liés à la nomination des membres de la Commission électorale et de la prorogation de la législature.
Entre autres, les chefs d’Etat et de gouvernement ont entériné la prorogation du mandat de la Mission de la CEDEAO en Guinée-Bissau (ECOMIB) jusqu'au 30 juin 2018, et exhorté les Forces de défense et de sécurité bissau-guinéennes à contribuer à assurer la paix et la sécurité dans tout le pays.
Ils ont en outre salué la prorogation par le Conseil de sécurité des Nations Unies du mandat du bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Guinée-Bissau (BINUGBIS) jusqu’au 28 février 2019.
Outre la Guinée-Bissau, la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO s’est également appesantie sur la situation sociopolitique au Togo.
Elle a salué les initiatives et les efforts du président ghanéen, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, pour la résolution pacifique des tensions sociopolitiques auxquelles ce pays est confronté depuis août 2017.
Les dirigeants ouest-africains ont invité tous les partis politiques et la société civile togolaise à s’abstenir de tout acte de violence et de tout agissement susceptibles de constituer une menace à la paix et à la stabilité du Togo et de l’espace CEDEAO.
Ils ont désigné leurs pairs Nana Addo Dankwa Akufo-Addo et Alpha Condé en qualité de facilitateurs de la CEDEAO, et leur ont demandé d’intensifier leurs efforts pour aider le gouvernement et les acteurs politiques togolais dans la réalisation des réformes constitutionnelles, dans le respect des délais légaux, des normes et principes de la démocratie et de l’Etat de droit.
cmas
Cette nomination sera prise par décret présidentiel le 17 avril 2018, rapporte un communiqué de presse de la CEDEAO transmis lundi à l’AIP.
Ils ont également pris note des décisions relatives à la tenue des élections législatives le 18 novembre 2018, et de l’ouverture du parlement le 19 avril pour statuer notamment sur les points liés à la nomination des membres de la Commission électorale et de la prorogation de la législature.
Entre autres, les chefs d’Etat et de gouvernement ont entériné la prorogation du mandat de la Mission de la CEDEAO en Guinée-Bissau (ECOMIB) jusqu'au 30 juin 2018, et exhorté les Forces de défense et de sécurité bissau-guinéennes à contribuer à assurer la paix et la sécurité dans tout le pays.
Ils ont en outre salué la prorogation par le Conseil de sécurité des Nations Unies du mandat du bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Guinée-Bissau (BINUGBIS) jusqu’au 28 février 2019.
Outre la Guinée-Bissau, la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO s’est également appesantie sur la situation sociopolitique au Togo.
Elle a salué les initiatives et les efforts du président ghanéen, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, pour la résolution pacifique des tensions sociopolitiques auxquelles ce pays est confronté depuis août 2017.
Les dirigeants ouest-africains ont invité tous les partis politiques et la société civile togolaise à s’abstenir de tout acte de violence et de tout agissement susceptibles de constituer une menace à la paix et à la stabilité du Togo et de l’espace CEDEAO.
Ils ont désigné leurs pairs Nana Addo Dankwa Akufo-Addo et Alpha Condé en qualité de facilitateurs de la CEDEAO, et leur ont demandé d’intensifier leurs efforts pour aider le gouvernement et les acteurs politiques togolais dans la réalisation des réformes constitutionnelles, dans le respect des délais légaux, des normes et principes de la démocratie et de l’Etat de droit.
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