La fête de travail célébrée le 1er mai 2018 à Korhogo s’est déroulée sur l’esplanade de la préfecture de région en présence de: Daouda Ouattara, préfet de région du Poro, Coulibaly Amadou dit Am’s, directeur des relations extérieures à la présidence de la république, N’guessan Kouassi, inspecteur de travail des régions du Tchologo et de la Bagoué, Silué Nahouo, président de la chambre régionale de commerce et d’industrie, des élus locaux, chefs de service, chefs coutumières et des opérateurs économiques.
Après le traditionnel défilé sur l’esplanade de la préfecture, les différentes représentations syndicales du pays ont successivement lu leur allocution. Dosso Mamadou, secrétaire régional de la ‘’centrale syndicale humanisme’’ (CSH), a plaidé au nom de ses pairs pour le déblocage des camions transportant des marchandises bloqués au poste frontalier de la ville de Ouangolodougou dans l’extrême nord de la Côte d’Ivoire.
Il a, à ce sujet, demandé l’intervention du préfet de région du Poro. « Plusieurs camions de marchandises diverses et de pièces détachées appartenant aux commerçants de Korhogo sont bloqués au poste frontalier de Ouangolo au motif que le dédouanement des dites marchandises doit se faire désormais au poste frontalier de Noé dans le Sud du pays. Nous demandons l’implication du préfet de région du Poro auprès de son homologue du Tchologo pour une solution rapide à ce problème », a plaidé Daouda Ouattara.
Autres préoccupations relevées par les syndicalistes, la concurrence dont sont victimes les femmes commerçantes du marché de légumes de Korhogo face à l’envahissement des produits en provenances des pays voisins (Mali, Burkina Faso et Niger). « Les commerçantes du marché de légumes de Korhogo font face à une concurrence farouche des produits en provenance des pays voisins. Elles se plaignent en outre des ponts de bascule de Yamoussoukro où elles paient 250.000 F par voyage de camions chargé. Nous demandons encore l’intervention de notre dynamique préfet de région pour le bonheur de ces battantes femmes», a souhaité le syndicaliste.
Après le point des efforts consentis par le gouvernement ivoirien en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des travailleurs aussi bien du secteur public que du privé, le préfet de région du poro Daouda Ouattara a apporté quelques réponses aux préoccupations émises par les syndicalistes avant de rassurer. « vos cahiers de revendications mentionnant également des cas individuels auxquels la voix la plus autorisée que la mienne apportera bien certainement des réponses appropriées », a-t-il ajouté.
Pour rappel, des camions transportants des marchandises diverses et des pièces détachées autos et motos sont bloqués il ya quelques jours au poste frontalier de ouangolodougou. Selon des commerçants, il leur est demandé de procéder au dédouanement desdites marchandises au poste frontalier de Noé dans le Sud du pays. Ce qui est pratiquement difficile à faire selon eux. Et, depuis lors, ces camions de marchandises appartenant à de nombreux commerçants des villes de korhogo et environs sont toujours bloqués à Ouangolodougou.
Benogo T. une Correspondance particulière à Korhogo
Après le traditionnel défilé sur l’esplanade de la préfecture, les différentes représentations syndicales du pays ont successivement lu leur allocution. Dosso Mamadou, secrétaire régional de la ‘’centrale syndicale humanisme’’ (CSH), a plaidé au nom de ses pairs pour le déblocage des camions transportant des marchandises bloqués au poste frontalier de la ville de Ouangolodougou dans l’extrême nord de la Côte d’Ivoire.
Il a, à ce sujet, demandé l’intervention du préfet de région du Poro. « Plusieurs camions de marchandises diverses et de pièces détachées appartenant aux commerçants de Korhogo sont bloqués au poste frontalier de Ouangolo au motif que le dédouanement des dites marchandises doit se faire désormais au poste frontalier de Noé dans le Sud du pays. Nous demandons l’implication du préfet de région du Poro auprès de son homologue du Tchologo pour une solution rapide à ce problème », a plaidé Daouda Ouattara.
Autres préoccupations relevées par les syndicalistes, la concurrence dont sont victimes les femmes commerçantes du marché de légumes de Korhogo face à l’envahissement des produits en provenances des pays voisins (Mali, Burkina Faso et Niger). « Les commerçantes du marché de légumes de Korhogo font face à une concurrence farouche des produits en provenance des pays voisins. Elles se plaignent en outre des ponts de bascule de Yamoussoukro où elles paient 250.000 F par voyage de camions chargé. Nous demandons encore l’intervention de notre dynamique préfet de région pour le bonheur de ces battantes femmes», a souhaité le syndicaliste.
Après le point des efforts consentis par le gouvernement ivoirien en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des travailleurs aussi bien du secteur public que du privé, le préfet de région du poro Daouda Ouattara a apporté quelques réponses aux préoccupations émises par les syndicalistes avant de rassurer. « vos cahiers de revendications mentionnant également des cas individuels auxquels la voix la plus autorisée que la mienne apportera bien certainement des réponses appropriées », a-t-il ajouté.
Pour rappel, des camions transportants des marchandises diverses et des pièces détachées autos et motos sont bloqués il ya quelques jours au poste frontalier de ouangolodougou. Selon des commerçants, il leur est demandé de procéder au dédouanement desdites marchandises au poste frontalier de Noé dans le Sud du pays. Ce qui est pratiquement difficile à faire selon eux. Et, depuis lors, ces camions de marchandises appartenant à de nombreux commerçants des villes de korhogo et environs sont toujours bloqués à Ouangolodougou.
Benogo T. une Correspondance particulière à Korhogo