Les rideaux se sont refermés sur l’édition 2018 du festival Abidjan Jazz by BICICI
Cette édition, riche en émotions, n’a pas laissé les invités indifférents. Clients, partenaires, mélomanes, amoureux du Jazz se sont tous retrouvés autour de la jeunesse, de l’expérience et du talent de la programmation 2018.
D’abord le 13 avril, avec l’ouverture du Festival à l’Institut Français au Plateau. Nous avions pris rendez-vous pour un passage de flambeau avec la nouvelle garde du jazz ivoirien : Les Eléphanteaux du Jazz.
Tour à tour, Mike ABE, le trio JAIXI et Oswald KOUAME nous ont entrainés dans des sonorités à la fois percutantes, exotiques et enlevées. L’attraction de cette soirée a été la performance d’Oswald KOUAME, ivoirien vivant au Japon qui a effectué son retour au pays accompagné de 2 musiciens japonais qui ont émerveillé l’assistance lorsqu’ils ont entonné des mélodies du répertoire « retro » ivoirien.
Après cette ouverture teintée d’originalité et de jeunesse, les projecteurs se sont tournés vers le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, le 20 avril, pour le concert du groupe « File Under Zawinul ». Sur scène, des musiciens confirmés comme le percussionniste Mino Cinelu, l’accordéoniste Vincent Peirani et l’inamovible Paco Sery à la batterie, ont littéralement porté le public vers les sommets. C’est un véritable « tour du monde musical » auquel nous avons assisté. Car, c’est bien cela « File Under Zawinul » : un groupe qui pour rester conforme à l’esprit de feu Joe Zawinul, propose des chansons prônant un métissage des cultures et des influences musicales.
Comment ne pas parler de métissage sans évoquer le Cap-Vert qui s’était déplacé à l’Institut Français pour la dernière date du festival, le 27 avril, avec à l’affiche la chanteuse Lura.
A travers sa musique, nous avons découvert un peu de ce beau pays, de sa chaleur de son peuple et de ses traditions. Celle qui est décrite comme la plus mélodieuse et charismatique de toute une génération d’interprètes capverdiens a véritablement conquis la Côte d’Ivoire alliant même quelques pas de danse à sa prestation.
Notons qu’en lever de rideau, les spectateurs ont pu découvrir « Bici’Voice » l’orchestre composé à 100% des employés de la BICICI qui ont démontré qu’ils étaient aussi à l’aise dans leur métier de banquier que derrière un micro.
Belle apothéose d’un festival 2018 placé sous le signe de la diversité, des échanges culturels et de l’ouverture.
Comme l’a indiqué le Directeur Général de la BICICI, M. Jean-Louis MENANN-KOUAME, cap sur l’édition 2019 pour encore plus de plaisir offert aux clients, partenaires et amis de la BICICI, « la banque d’un monde qui change ».
Cette édition, riche en émotions, n’a pas laissé les invités indifférents. Clients, partenaires, mélomanes, amoureux du Jazz se sont tous retrouvés autour de la jeunesse, de l’expérience et du talent de la programmation 2018.
D’abord le 13 avril, avec l’ouverture du Festival à l’Institut Français au Plateau. Nous avions pris rendez-vous pour un passage de flambeau avec la nouvelle garde du jazz ivoirien : Les Eléphanteaux du Jazz.
Tour à tour, Mike ABE, le trio JAIXI et Oswald KOUAME nous ont entrainés dans des sonorités à la fois percutantes, exotiques et enlevées. L’attraction de cette soirée a été la performance d’Oswald KOUAME, ivoirien vivant au Japon qui a effectué son retour au pays accompagné de 2 musiciens japonais qui ont émerveillé l’assistance lorsqu’ils ont entonné des mélodies du répertoire « retro » ivoirien.
Après cette ouverture teintée d’originalité et de jeunesse, les projecteurs se sont tournés vers le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, le 20 avril, pour le concert du groupe « File Under Zawinul ». Sur scène, des musiciens confirmés comme le percussionniste Mino Cinelu, l’accordéoniste Vincent Peirani et l’inamovible Paco Sery à la batterie, ont littéralement porté le public vers les sommets. C’est un véritable « tour du monde musical » auquel nous avons assisté. Car, c’est bien cela « File Under Zawinul » : un groupe qui pour rester conforme à l’esprit de feu Joe Zawinul, propose des chansons prônant un métissage des cultures et des influences musicales.
Comment ne pas parler de métissage sans évoquer le Cap-Vert qui s’était déplacé à l’Institut Français pour la dernière date du festival, le 27 avril, avec à l’affiche la chanteuse Lura.
A travers sa musique, nous avons découvert un peu de ce beau pays, de sa chaleur de son peuple et de ses traditions. Celle qui est décrite comme la plus mélodieuse et charismatique de toute une génération d’interprètes capverdiens a véritablement conquis la Côte d’Ivoire alliant même quelques pas de danse à sa prestation.
Notons qu’en lever de rideau, les spectateurs ont pu découvrir « Bici’Voice » l’orchestre composé à 100% des employés de la BICICI qui ont démontré qu’ils étaient aussi à l’aise dans leur métier de banquier que derrière un micro.
Belle apothéose d’un festival 2018 placé sous le signe de la diversité, des échanges culturels et de l’ouverture.
Comme l’a indiqué le Directeur Général de la BICICI, M. Jean-Louis MENANN-KOUAME, cap sur l’édition 2019 pour encore plus de plaisir offert aux clients, partenaires et amis de la BICICI, « la banque d’un monde qui change ».