Trafic de drogue : des membres présumés d’un réseau international interpellés, plus de 5 kg d’une substance très nocive saisis
Grâce à une information anonyme filée le 15 janvier dernier, l’Unité de lutte contre la Criminalité Transnationale organisée (UTC) mettait la main à Noé (frontière ivoiro-ghanéenne) sur 5,2 kilogrammes de phénacétine d’une valeur d’environ 500 millions de Fcfa. Elle venait aussi de prendre dans ses filets des membres d’un réseau international de trafic de drogue.
Plus de 4 mois après, une dizaine de membres de ce réseau mis aux arrêts, a été présentée à la presse ce mercredi dans les locaux de l’Unité.
« Il s’agit d’un réseau dont les agissements remontent à plus de 5 ans. Depuis le 23 mai, nous avons pu mettre la main sur la dizaine de membres dont 9 nigérians et 1 ivoirien. Cependant il s’agit d’une présomption de culpabilité jusqu’au verdict du procès (…) La phénacétine est un produit nocif et très dangereux pour les organes vitaux surtout les reins, servant à la coupe de la cocaïne. Il s’agit d’une poudre blanchâtre dont la prise à sec est plus dangereuse que la cocaïne» a précisé le commissaire principal Bleu Jean Charlemagne, porte-parole de la police nationale.
Cependant, « l’enquête est en cours et toute collaboration est la bienvenue. Il ne s’agit que de quelques membres d’un réseau qui opère dans la sous-région. Des personnes, prises lors de la saisie ont déjà été déférées » a-t-il ajouté.
Par ailleurs le commissaire en appelle « à la vigilance de la population dont il demande la collaboration pour mettre hors d’état de nuire ce genre de malfaiteurs » et assurant que « la police fait son travail pour mettre un coup d’arrêt au trafic de drogue dans le pays qui mine la jeunesse ivoirienne. »
Notons que ce coup de filet a été possible grâce à une collaboration étroite entre les services de l’UTC, ceux de la direction de la police de la drogue et des stupéfiants, de la police économique et financière, de la direction de l’informatique et des traces technologiques, de la coopération française et de toutes les structures de lutte anti-drogue.
P. R.
Grâce à une information anonyme filée le 15 janvier dernier, l’Unité de lutte contre la Criminalité Transnationale organisée (UTC) mettait la main à Noé (frontière ivoiro-ghanéenne) sur 5,2 kilogrammes de phénacétine d’une valeur d’environ 500 millions de Fcfa. Elle venait aussi de prendre dans ses filets des membres d’un réseau international de trafic de drogue.
Plus de 4 mois après, une dizaine de membres de ce réseau mis aux arrêts, a été présentée à la presse ce mercredi dans les locaux de l’Unité.
« Il s’agit d’un réseau dont les agissements remontent à plus de 5 ans. Depuis le 23 mai, nous avons pu mettre la main sur la dizaine de membres dont 9 nigérians et 1 ivoirien. Cependant il s’agit d’une présomption de culpabilité jusqu’au verdict du procès (…) La phénacétine est un produit nocif et très dangereux pour les organes vitaux surtout les reins, servant à la coupe de la cocaïne. Il s’agit d’une poudre blanchâtre dont la prise à sec est plus dangereuse que la cocaïne» a précisé le commissaire principal Bleu Jean Charlemagne, porte-parole de la police nationale.
Cependant, « l’enquête est en cours et toute collaboration est la bienvenue. Il ne s’agit que de quelques membres d’un réseau qui opère dans la sous-région. Des personnes, prises lors de la saisie ont déjà été déférées » a-t-il ajouté.
Par ailleurs le commissaire en appelle « à la vigilance de la population dont il demande la collaboration pour mettre hors d’état de nuire ce genre de malfaiteurs » et assurant que « la police fait son travail pour mettre un coup d’arrêt au trafic de drogue dans le pays qui mine la jeunesse ivoirienne. »
Notons que ce coup de filet a été possible grâce à une collaboration étroite entre les services de l’UTC, ceux de la direction de la police de la drogue et des stupéfiants, de la police économique et financière, de la direction de l’informatique et des traces technologiques, de la coopération française et de toutes les structures de lutte anti-drogue.
P. R.