Abidjan (Côte d’Ivoire) - Treize trafiquants de drogue dont trois déjà déférés, interpellés à Noé (Frontière Ghana) avec cinq kilogrammes d’héroïne d’une valeur de 500 millions FCFA, ont été présentés mercredi à la presse par la police nationale ivoirienne au siège de l’unité de lutte contre la criminalité transnationale organisée (UCT) à Cocody dans l’Est d’Abidjan.
« Cette interpellation a été le début d’une longue enquête qui a duré pratiquement quatre mois et qui a permis d’interpeller le 23 mai, 10 autres membres du réseau », a expliqué à la presse, le porte-parole de la police nationale ivoirienne, le commissaire principal, Bleu Louan Jean Charlemagne soulignant que ces derniers seront déférés au plus tard vendredi.
« C’est toujours dans des conditions de dénonciation anonyme que les services de douane de Noé en relation avec le commissariat de police de la même ville ont été saisis», a fait savoir M. Bleu précisant que cette enquête a été conjointement menée par la police et la douane avec la collaboration du service anti-drogue du Nigeria ainsi qu’avec le soutien de la coopération française.
Poursuivant, il a indiqué qu’après le test de laboratoire de la police nationale, le produit illicite s’est avéré être de l’héroïne d’une valeur de 500 millions FCFA. « La drogue est la source de tous les vices. Elle contribue à la montée vertigineuse de la criminalité dans un pays », a fait remarquer le commissaire Bleu affirmant que ce genre d’opération est le lieu de « démontrer aux uns et aux autres qu’en collaboration avec les autres forces, la police est en train de bouter de notre territoire ce fléau qu’est la drogue ».
Selon le porte-parole de la police nationale ivoirienne, les appels anonymes de dénonciation « sont en cours» car certains trafiquants sont encore en cavale. « Leur interpellation ne constitue qu’une question d’heure et de jour », a-t-il assuré.
Cette enquête qui a permis de démanteler ce réseau de trafiquants de drogue et impliquant plusieurs forces ivoiriennes et étrangères, s’est menée depuis janvier jusqu’au 23 mai dernier. Les trois premiers trafiquants sur les treize interpellés, ont été déférés depuis le 15 janvier 2018.
LB/ls
« Cette interpellation a été le début d’une longue enquête qui a duré pratiquement quatre mois et qui a permis d’interpeller le 23 mai, 10 autres membres du réseau », a expliqué à la presse, le porte-parole de la police nationale ivoirienne, le commissaire principal, Bleu Louan Jean Charlemagne soulignant que ces derniers seront déférés au plus tard vendredi.
« C’est toujours dans des conditions de dénonciation anonyme que les services de douane de Noé en relation avec le commissariat de police de la même ville ont été saisis», a fait savoir M. Bleu précisant que cette enquête a été conjointement menée par la police et la douane avec la collaboration du service anti-drogue du Nigeria ainsi qu’avec le soutien de la coopération française.
Poursuivant, il a indiqué qu’après le test de laboratoire de la police nationale, le produit illicite s’est avéré être de l’héroïne d’une valeur de 500 millions FCFA. « La drogue est la source de tous les vices. Elle contribue à la montée vertigineuse de la criminalité dans un pays », a fait remarquer le commissaire Bleu affirmant que ce genre d’opération est le lieu de « démontrer aux uns et aux autres qu’en collaboration avec les autres forces, la police est en train de bouter de notre territoire ce fléau qu’est la drogue ».
Selon le porte-parole de la police nationale ivoirienne, les appels anonymes de dénonciation « sont en cours» car certains trafiquants sont encore en cavale. « Leur interpellation ne constitue qu’une question d’heure et de jour », a-t-il assuré.
Cette enquête qui a permis de démanteler ce réseau de trafiquants de drogue et impliquant plusieurs forces ivoiriennes et étrangères, s’est menée depuis janvier jusqu’au 23 mai dernier. Les trois premiers trafiquants sur les treize interpellés, ont été déférés depuis le 15 janvier 2018.
LB/ls