Korhogo - Une cuisine et un réfectoire « ultramodernes » ont été inaugurés vendredi au 4ème bataillon d’infanterie de Korhogo par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, accompagné de trois de ses ministres dont celui de la Défense et du chef d’état-major des armées.
« La dimension et la qualité de l’édifice qui nous est offert en ce jour nous amènent à ne plus parler de service ordinaire qui est le terme consacré à la structure d’alimentation ou de restauration de la troupe, mais plutôt de complexe nourricier », s’est réjoui le colonel-major Assamoi Djézou, directeur général des affaires logistiques et techniques de la défense, qui a suivi de près les travaux.
La construction de cette infrastructure, d’une capacité de 600 repas par jour, s’inscrit dans le cadre d’un programme d’urgence de réhabilitation, de construction et d’équipement de cuisines dans les casernes du pays.
Dix unités des forces armées et de la gendarmerie de Côte d’Ivoire sont concernées par ce programme qui est à sa première phase depuis six mois, et qui est, selon le colonel Djézou, « un ambitieux projet qui révolutionnera les principes traditionnels d’alimentation des militaires ».
Ce programme a été initié par le ministre de la défense, Hamed Bakayoko, soucieux de redonner « de la fierté et de la dignité » à l’armée ivoirienne. Il vise à améliorer les conditions de vie dans les casernes en vue d’avoir des soldats plus motivés et plus engagés au service de la nation, a-t-on entendu dire.
Une cuisine « participe quotidiennement à la cohésion au sein de la caserne et renforce davantage la fraternité d’arme », a indiqué le Gal Touré Sékou, chef d’état-major des armées, situant l’importance d’une cuisine dans une unité militaire.
M. Hamed Bakayoko a saisi l’occasion pour engager, une fois de plus, les militaires à rester disciplinés, à faire honneur au pays et à inspirer davantage confiance aux populations.
(AIP)
kaem/kam
« La dimension et la qualité de l’édifice qui nous est offert en ce jour nous amènent à ne plus parler de service ordinaire qui est le terme consacré à la structure d’alimentation ou de restauration de la troupe, mais plutôt de complexe nourricier », s’est réjoui le colonel-major Assamoi Djézou, directeur général des affaires logistiques et techniques de la défense, qui a suivi de près les travaux.
La construction de cette infrastructure, d’une capacité de 600 repas par jour, s’inscrit dans le cadre d’un programme d’urgence de réhabilitation, de construction et d’équipement de cuisines dans les casernes du pays.
Dix unités des forces armées et de la gendarmerie de Côte d’Ivoire sont concernées par ce programme qui est à sa première phase depuis six mois, et qui est, selon le colonel Djézou, « un ambitieux projet qui révolutionnera les principes traditionnels d’alimentation des militaires ».
Ce programme a été initié par le ministre de la défense, Hamed Bakayoko, soucieux de redonner « de la fierté et de la dignité » à l’armée ivoirienne. Il vise à améliorer les conditions de vie dans les casernes en vue d’avoir des soldats plus motivés et plus engagés au service de la nation, a-t-on entendu dire.
Une cuisine « participe quotidiennement à la cohésion au sein de la caserne et renforce davantage la fraternité d’arme », a indiqué le Gal Touré Sékou, chef d’état-major des armées, situant l’importance d’une cuisine dans une unité militaire.
M. Hamed Bakayoko a saisi l’occasion pour engager, une fois de plus, les militaires à rester disciplinés, à faire honneur au pays et à inspirer davantage confiance aux populations.
(AIP)
kaem/kam